L'avis de Jean-François Touzé
23 octobre 1956, Budapest... Début de l'insurrection contre le régime communiste supervisé d'une main de fer par l'URSS.
Douze jours plus tard les chars soviétiques viendront noyer la révolte dans le sang. Tous les mouvements nationalistes d'Europe marqueront alors activement leur solidarité militante avec les patriotes Hongrois. L'attaque du siège du PCF, carrefour de Châteaudun à Paris, le 7 novembre à l'issue d'une manifestation qui regroupait sur les Champs Elysées plus de 40 000 personnes habitées par la haine de la folie marxiste-léniniste, attaque menée par les militants de Jeune Nation, les étudiants nationalistes et les anciens d'Indochine reste dans toutes les mémoires de notre camp et fut à l'origine, comme la chute de Dien Bien Phu, de l'engagement national de toute un génération de coeurs purs.
La Hongrie, hélas, restera soumise pour plus de trente ans encore au joug communiste, mais son honneur était sauf.
Pour leurs libertés, leur indépendance, leur identité et contre la servitude et la domination étrangère, les grands peuples un jour ou l'autre se réveillent et descendent dans la rue.
Les Français furent un grand peuple. Le sont-ils encore? Il ne reste plus beaucoup de temps pour le savoir et en faire la démonstration.
La Chappe de plomb du totalitarisme progressiste, financier, immigrationniste et globaliste d'aujourd'hui est pourtant aussi pesante que celle du communiste d'hier.
NDLR SN : sur l'insurrection de Budapest, lire les deux volumes de David Irving publiés aux Bouquins de Synthèse nationale
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