En 2019, l’association Techno Plus a reçu, sur proposition de Mme Anne Souyris, adjointe au maire de Paris, chargée de la santé publique, des relations avec l’AP-HP, de la santé environnementale et de la réduction des risques, 80 000 euros pour financer un « drug truck » :
Chaque année cette association touche des milliers d’euros de subventions de Paris, soit près de 200 000 € en 6 ans :
Dans un communiqué du 1er janvier, l’association Techno Plus s’honore d’accompagner la Rave party à Lieuron en Bretagne, où elle mène des actions de santé pour réduire les risques liés au Covid-19. Mais Techno Plus n’est pas seulement une association d’aide et de prévention. C’est aussi un organisme militant, soutenant des actions illégales. Elle avait ainsi ouvert un espace de consommation de drogues, héroïne comprise, au Teknival de 2013. En 2017, Techno Plus a ouvert à Paris, avec Aides et Asud, un éphémère magasin de vente de drogues.
Tout ceci explique-t-il l’inertie du régime à clore cette rave party ?