Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Tour d’Europe de l’impossible assimilation des immigrés

L’Invasion de l’Europe

Les esprits européens sont malades. Une inversion totale des valeurs a eu lieu. Alors que de tout temps nous avons glorifié ceux qui protégeaient leur peuple, aujourd’hui c’est l’envahisseur qui est adoré et ceux qui s’y opposent diabolisés.

Dans L’Invasion de l’Europe — Les chiffres du Grand Remplacement (Via Romana, 2020), Jean-Yves Le Gallou et la fondation Polémia démontrent que le Grand Remplacement est une réalité européenne et que, partout où les extra-Européens sont en surnombre, la cohabitation est impossible.

L’Europe, notre terre, a connu un peuplement inchangé pendant 5 000 ans. Jusque dans les années 1960, les habitants d’Europe descendaient des Indo-Européens (dans leur grande majorité), partageant un héritage commun, à la fois génétique, culturel, linguistique… Mais aujourd’hui, soixante ans plus tard, un bouleversement sans précédent s’est produit : le Grand Remplacement. Des dizaines de millions d’allogènes ont envahi nos pays. Apportant avec eux des mœurs, des langues, des religions, des odeurs, des bruits… étrangers à notre univers européen.

Si la sécularisation a gagné une bonne partie des peuples d’Europe, force est de constater que bien peu de musulmans y sont sensibles. Au contraire, ils profitent de la déchristianisation pour imposer leurs coutumes religieuses (voile, halal, charia…) et parfois convertir les nationaux. Plus grave encore, les Européens ethniques risquent de perdre leur patrimoine génétique. Le taux de natalité chez les Blancs est trop bas pour assurer le renouvellement des générations, alors que celui des allogènes est nettement supérieur. À cela, il faut ajouter les arrivées massives d’Africains, de Turcs, de Moyen-Orientaux, d’Indo-Pakistanais… qui viennent se rajouter aux contingents déjà présents.

Commençons notre tour d’Europe par la Suède. Elle fait partie des pays envahis de notre continent. Si la Suède était suédoise il y a encore quelques décennies, ce n’est plus le cas. Les immigrés extra-Européens (pour la plupart) représentent 25 % de la population. C’est un véritable choc de civilisation qui a eu lieu avec l’arrivée massive de populations musulmanes. Les mœurs de ces jeunes hommes diffèrent fortement de celles de la société d’accueil, et les Suédoises en sont les premières victimes.

Le deuxième cas est celui de la Belgique. L’immigration fut d’abord européenne pendant l’entre-deux-guerres mais, depuis, de nombreux Maghrébins ont élu domicile en Belgique. Le plat pays se divise sur la question de l’immigration. Si beaucoup de Flamands s’opposent vigoureusement au Grand Remplacement, davantage de Wallons semblent l’accepter.

Les Danois, eux, après avoir accueilli immodérément le tiers-monde pendant des décennies, ont restreint drastiquement l’immigration. Pour cela, ils ont déployé tout un arsenal législatif et l’appliquent. Ces mesures font l’objet d’un consensus au sein de la classe politique. Aussi, les Danois ont choisi de recevoir moins d’immigrés pour tenter de mieux intégrer ceux déjà présents. Aujourd’hui les Danois ont une claire volonté de préserver ce qu’ils sont.

En Grande-Bretagne c’est le modèle multiculturel qui a été choisi, mais là aussi c’est un échec. L’immigration en provenance, dès les années 50–60, du tiers-monde a causé bien des problèmes : viols de masse, islamisation, quartiers sécessionnistes… Enoch Powell, prophète diabolisé, avait alerté en 1968 sur les dangers de l’invasion migratoire. Cinquante ans plus tard, les faits lui ont malheureusement donné raison.

L’Allemagne, nous nous le rappelons, avait trahi l’Europe entière en faisant entrer en 2015 plus de 1,5 million de Syriens et de Moyen-Orientaux, avec de nombreux criminels et terroristes parmi eux. Mais le peuplement musulman chez nos voisins allemands est plus ancien : dès les années 50, ils faisaient entrer déjà des Turcs. Évidemment, cette invasion migratoire pose une série de problèmes : islamisation, zones de non-droit, augmentation de la délinquance, viols de masse, inemployabilité de beaucoup d’immigrés… Une note positive, la pression populaire a contraint le gouvernement à réduire l’immigration et faciliter les expulsions.

Pour ce qui concerne l’Autriche, l’immigration a, là aussi, changé de nature. Le pays a d’abord accueilli des Européens fuyant le communisme, mais à ceux-ci se sont mêlées depuis des vagues d’immigration extra-européennes. La population musulmane a doublé en quinze ans, et ce n’est pas près de s’arrêter. Aussi, les immigrés sont surreprésentés parmi les chômeurs, les délinquants et les allocataires des prestations sociales. Cependant le peuple autrichien a choisi un gouvernement qui a restreint l’immigration et facilite les expulsions.

Aux Pays-Bas, les premiers extra-Européens accueillis provenaient des anciennes colonies (asiatiques principalement), mais, depuis, les arrivées ont pris des proportions effrayantes changeant la composition ethnique du pays. En moins de cinquante ans, la part des extra-Européens a été multipliée par 13 ! Comme partout ailleurs les extra-Européens sont proportionnellement plus dépendants de l’assistanat social, plus délinquants, et ont un taux d’activité moindre que les Hollandais. Après que le pays a subventionné de nombreuses associations musulmanes, l’islam s’affirme de plus en plus avec l’assentiment d’une partie des politiques.

La Suisse est le pays qui a la part d’étrangers la plus importante dans sa population : 1/4. La plupart sont des Européens, mais les extra-Européens se font remarquer. Auteurs de nombreux délits, ils encombrent les prisons et constituent de gros bataillons de chômeurs. Cependant, par voie référendaire, le peuple suisse a demandé la réduction de l’immigration. Le pouvoir, lui, rechigne, même si des mesures aux résultats encourageants sont appliquées.

En France, l’immigration extra-européenne s’est substituée à l’immigration européenne. Alors qu’en 1960 la population française était quasi inchangée depuis 5 000 ans, aujourd’hui environ 40 % des naissances sont d’origine extra-européenne et 22 % sont musulmanes. Le Grand Remplacement est un fait. Dans l’Hexagone aussi musulmans ou extra-Européens font déborder les prisons et pèsent lourdement sur le coût de l’assistance sociale. Si la société française se sécularise, beaucoup de musulmans eux se radicalisent et se multiplient, plaçant leurs valeurs au-dessus de nos lois. Alors que les Français risquent de devenir minoritaires sur leur sol, les juges, les journalistes, le pouvoir politique et la loi imposent l’invasion migratoire et empêchent de s’y opposer.

L’Italie, quant à elle, a été pendant longtemps une terre d’émigration, épargnée par l’invasion migratoire. Mais il n’en est plus ainsi, le nombre d’étrangers a été multiplié par sept en vingt-cinq ans, alors même que les naturalisations se comptent par centaines de milliers. Les mafias italiennes sont menacées de Grand Remplacement par des mafias nigériennes ! L’Italie a servi de porte d’entrée de l’Europe pour des centaines de milliers de clandestins africains venant par la mer… jusqu’à ce que les Italiens portent au pouvoir Salvini qui a stoppé (provisoirement) cette invasion.

L’Espagne, pays d’émigration pendant longtemps, a vu une explosion des entrées sur son sol en vingt ans (multipliées par 20 !). Les socialistes espagnols sont de véritables artisans du Grand Remplacement. Ils régularisent massivement les clandestins ; rien qu’en 2005 ils ont offert la nationalité à 500 000 d’entre eux ! Le changement de peuple est accéléré par l’émigration des jeunes Espagnols pendant que des étrangers entrent massivement dans le pays. En outre, la natalité très faible (1,25 enfant par femme) accentue ce phénomène. Politiques, médias, économistes… appellent à faire entrer encore plus d’étrangers (Marocains, par exemple) pour sauver l’économie. Si le réveil identitaire s’est fait attendre, le parti Vox est en train d’émerger.

En Grèce, l’immigration est plus récente qu’à l’ouest de l’Europe. Mais tout de même, en soixante ans, la population étrangère a été multipliée par onze. Les clandestins y entrent par centaines de milliers en provenance de Turquie. Il y a un an, le sultan Erdogan menaçait de laisser débarquer sur le pays des centaines de milliers de clandestins, obligeant le gouvernement grec à déployer l’armée pour protéger les frontières (aidée par des troupes polonaises et autrichiennes). Il est à noter que la charia s’applique légalement sur certains territoires grecs à domination musulmane.

Enfin, pour terminer notre tour d’Europe : le Portugal. C’est un pays préservé, les musulmans et les étrangers (européens en majorité) sont très peu nombreux. Cependant le gouvernement socialiste tente de faire venir des extra-Européens en assouplissant les lois sur l’immigration. Les Portugais, fiers de ce qu’ils sont, de leur histoire, loin de la repentance, catholiques pratiquants, habitant dans des villages aux traditions encore vivantes, n’ont pas l’intention de voir leur pays se transformer, ils veulent rester Européens ! D’ailleurs, à la dernière élection présidentielle, les Portugais viennent de faire émerger du néant un candidat anti-immigration.

Les esprits européens sont malades. Une inversion totale des valeurs a eu lieu. Alors que de tout temps nous avons glorifié ceux qui protégeaient leur peuple, aujourd’hui c’est l’envahisseur qui est adoré et ceux qui s’y opposent diabolisés. Les élites européennes, qu’elles soient politiques, judiciaires, médiatiques, financières, culturelles, intellectuelles…, œuvrent pour permettre cette invasion, alors que les peuples européens ne la souhaitent pas. Et ils ont raison. Partout sur notre continent les extra-Européens sont surreprésentés parmi les chômeurs, les bénéficiaires des minima sociaux, les criminels. Parce qu’ils sont trop différents, nous ne pouvons constituer une société avec eux.

Bref, ce livre est la preuve par treize de l’impossible assimilation des immigrés en Europe.

Maxime Jacob, auditeur de l’Institut Iliade, promotion Roi Arthur

L’Invasion de l’Europe — Les chiffres du Grand Remplacement, par Jean-Yves Le Gallou et la fondation Polémia, Via Romana, 212 p., 20 €.
Pour commander ce livre : https://shop.via-romana-pro.com/reinformation/363-l-invasion-de-l-europe-9782372711708.html?search_query=L%E2%80%99Invasion+de+l%E2%80%99Europe+-+Les+chiffres+du+Grand+Remplacement&results=2

https://institut-iliade.com/tour-deurope-de-limpossible-assimilation-des-immigres/

Les commentaires sont fermés.