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Squat de St Julien des Points : les provocations squatteresques continuent

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Un communiqué de la Ligue du Midi

Les squatters de Saint Julien des Points avaient prévu de manifester ce samedi 20 mars à proximité du squat, mais cette fois-ci sur la commune de Ste Cécile d’Andorge située côté Gard, de l’autre côté du pont. Ils avaient battu le rappel de tout leur cousinage du sud de la France jusque dans le Var.

Evidemment comme la Ligue du Midi l’affirmait depuis une dizaine de jours, les antifas-squatters professionnels ne pouvaient pas laisser passer l’aubaine que constitue à l’entrée de la commune l’ancien hôtel « chez Vivi » qui est symétrique à « l’Hôtel des Cévennes ».

La Ligue du Midi, très à l’aise dans son rôle de lanceur d’alerte avait mis tous les acteurs devant leurs responsabilités. Aussi c’est sans surprise que nous avons appris qu’à la première heure, samedi matin, une vingtaine d’ouvriers, -mandatés par le maire Pépin de Ste Cécile-, a muré à l’aide de mortier et parpaings les 25 ouvertures de l’hôtel en déshérence.

Evidemment tout cela a un coût… il est estimé à 15 000 euros auxquels il convient d’ajouter le cordon de gendarmes mobiles qui ont attendu sagement que le ciment fasse sa prise. Aux dernières nouvelles il semblerait que la mairie ait pu trouver une solution qui évitera à la commune de supporter cette dépense. En tous cas, ce n’est pas la préoccupation des fainéants-crasseux qui se soucient des finances publiques comme de leur premier pétard.

Enjambant les clôtures, pénétrant dans les jardins, faisant fi de la propriété privée, les squatters n’ont pas tardé (comme d‘habitude) à se faire détester jusqu’à ce qu’ils tombent face à une troupe de gens du cru qui effectuaient une ronde destinée à empêcher les chapardages et les incursions dans les écuries. L’échange fut bref, mais musclé ce qui prouve que dans les Cévennes on sait encore pratiquer la distribution de « marrons ». Les plus impertinents des paysans ont même oser affirmer que la traversée du ruisseau de l’Andorge restera dans les mémoires, comparable au passage de la Bérézina 

Comme l’a dit un vieux cévenol, témoin attentif de cet échange, « les plus courageux qui, au lieu de rester bien au chaud à l’abri des gendarmes (*) ont tenté de rejoindre leur squat y ont laissé leur nez, leurs arcades et même leurs c…s mais surtout leur dignité. »

La Ligue du Midi met en garde les autorités contre tout laxisme vis-à-vis des squatters qui ont pour objectif final la constitution au confluent des départements de la Lozère et du Gard d’une Zone A Défendre (ZAD) dans le style de Notre-Dame des landes. Si une telle abomination devait advenir on peut être assurés que la Ligue du Midi, assumerait sa part de défense, sur le terrain, de cette terre des Cévennes.

La Ligue profite de ce communiqué pour préciser qu’en raison de la tenue le samedi 20 mars d’une séance de formation à Montpellier, elle n’a pas contribué à la « Bérézina » des crasseux, mais qu’elle le regrette vivement.

Certains journalistes relayent sans les vérifier des énormités telles que : « les squatters pratiquent « la propriété d’usage » ou bien « nous voulons remettre les lieux en état de propreté » (**)…  Avant de diffuser de telles sottises, ils feraient bien de se rapprocher de nos porte-paroles afin de vérifier l’information à la source. Pour l’instant on notera, que cette parole est réservée à 100% aux milices d’ultra-gauche.

Notes

(*) Les anarchistes, contrairement à ce qu’on pourrait penser adorent les gendarmes et l’Etat surtout quand ils chouinent

(**) Pour vous donner une idée de l’état des lieux après le passage des crasseux, voir les photos après leur départ du barrage de Sivens.

La Ligue du Midi cliquez ici

http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2021/03/24/squat-de-st-julien-des-points-les-provocations-squatteresque-6305511.html

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