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[Vidéo] Florian Philippot : “C’est un effondrement de nos libertés”

Florian Philippot

Florian Philippot, président des Patriotes, conseiller régional Grand-Est et auteur de deux pamphlets : “Covid-19, l’oligarchie démasquée” et “Covid-19, la grande bascule“, était l’invité d’André Bercoff, mardi 30 mars, sur Sud Radio.

Depuis plusieurs mois, Florian Philippot est à la tête de la contestation contre les mesures sanitaires déployées contre la propagation du Covid-19. Sur les plateaux de télévision ou dans la rue, il alerte sur la disparition progressive des libertés fondamentales.

Si durant les premiers mois de la crise sanitaire, Florian Philippot pointe des “injonctions contradictoires“, comme le soir où le président de la République se rend “ostensiblement” au théâtre avec Brigitte Macron, “quelques jours avant d’annoncer que nous devons tous rester chez nous“, se souvient le président des Patriotes. Si au début cela apparaît comme “incompréhensible“, “plus on avance dans cette crise, plus on se rend compte qu’ils ne font pas tant d’erreurs que ça“.

Pour le conseiller régional, les réponses du gouvernement sont “cohérentes”. “Cela fait un an que des personnalités éminentes du monde médical, de la santé, disent qu’il y a des traitements qui existent“, rappelle-t-il, déplorant qu’ils soient constamment rejetés, en particulier ceux qui ne sont pas chers. “Cela fait un an qu’on nous fait culpabiliser sur la saturation des lits à l’hôpital“, ajoute Florian Philippot qui souligne que 8.000 lits ont été fermés entre mars 2020 et mars 2021. “Ce n’est pas une erreur, ils savent très bien ce qu’ils font“, regrette l’élu.

Pour Florian Philippot, “nous avons tout perdu“, en matière de liberté, et notamment sur la liberté d’expression, “de plus en plus attaquée depuis 20-30 ans par des lois, des lobbys, des GAFAM…“. Le président-fondateur des Patriotes alertent sur “la suppression de nos libertés les plus fondamentales“, citant plusieurs exemples : “on ne peut plus circuler comme on veut, on ne peut plus travailler, voyager, se réunir ou se rassembler“. “C’est un effondrement de nos libertés, et ceux qui se disent c’est temporaire, ça fait un an qu’on entend que la dernière semaine est décisive“, prévient-t-il.

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