Les états d’urgence antiterroriste puis sanitaire ont restreint les libertés individuelles, déséquilibré le pouvoir judiciaire et limité le pouvoir parlementaire au profit de l’exécutif, selon Evelyne Sire-Marin, magistrate et membre de la LDH.
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Les états d’urgence antiterroriste puis sanitaire ont restreint les libertés individuelles, déséquilibré le pouvoir judiciaire et limité le pouvoir parlementaire au profit de l’exécutif, selon Evelyne Sire-Marin, magistrate et membre de la LDH.