Une personne a été blessée et une autre est morte à la suite de tirs qui ont eu lieu, lundi 12 avril, aux alentours de 13 h 45, rue Michel-Ange, dans le 16e arrondissement de Paris, devant l’hôpital de la Croix rouge Henry-Dunant (un établissement spécialisé en gérontologie et qui abrite également un centre de vaccination contre le Covid-19).
Les deux victimes ont été rapidement prises en charge par le personnel de l’hôpital. La première victime est morte sur le coup. La seconde, une passante, a été blessée au thorax, ce qui a provoqué un arrêt cardiorespiratoire. Son pronostic vital est pour l’heure engagé.
D’après les premiers témoignages recueillis par les forces de l’ordre, les auteurs de l’attaque étaient deux. Le tireur, un homme, a visé à l’arme longue les deux victimes. Son complice conduisait un scooter, sur lequel tous deux ont pris la fuite.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour « assassinat » et a confié les investigations à la brigade criminelle. Les enquêteurs sont désormais convaincus que les auteurs ont agi dans le cadre d’un règlement de comptes, au vu aussi bien du mode opératoire – un pilote d’engin à deux roues et un tireur, manifestement déterminé – que de la personnalité de la victime, un homme jeune (né en 1987) et « très défavorablement connu des services de police, pour des faits lourds », a indiqué sur le moment une source policière.
L’homme, d’origine comorienne,* est, en vérité, connu des services de police pour meurtre en bande organisée, trafic de stupéfiants et association de malfaiteurs. Mais, vous l’aurez remarqué, il était en liberté sur notre territoire !
« Une cellule de soutien psychologique a été mise en place pour les personnels du centre de vaccination », a déclaré Francis Szpiner, maire du 16e arrondissement. « On a beaucoup de personnes choquées à l’intérieur », a expliqué à l’AFP un employé de la Croix-Rouge. Un périmètre de sécurité a été déployé dans les 50 mètres entourant l’hôpital, d’après ce qu’a pu constater un journaliste de l’AFP. Ce qui évidemment ne sert plus à rien…
Que faisait cette racaille rue Michel-Ange, une rue calme et sans histoire du XVIe arrondissement, devant l’hôpital Henry Dunant ? Nous ne le saurons probablement jamais sinon que, vu son âge, ce n’était pas pour une vaccination contre le Covid-19 ! Quoi qu’il en soit, ces sélections « surnaturelles » au sein de la pègre allogène (qui sont d’ailleurs de plus en plus fréquentes) ne sont pas pour nous déplaire puisqu’elles suppriment autant de gangsters.
En revanche, nous n’admettons pas les dégâts collatéraux engendrés par ces gens-là et dont nous pouvons tous finir par être victimes (https://actu.orange.fr/france/seine-saint-denis-une-fillette-gravement-blessee-dans-une-fusillade-a-pantin-magic-CNT000001zVtZh.html). La responsabilité, en la matière, de nos dirigeants politiques est gravement engagée du fait de leur laxisme (quand ce n’est pas carrément la complicité des édiles de certaines de nos villes) à l’égard des populations venues d’ailleurs et installées dans notre pays avec leurs moeurs, leurs coutumes et leur art de vivre. Vous relirez utilement cet article récent : https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2021/04/10/peut-etre-pensez-vous-que-les-maires-qui-courtisent-lislamisme-sont-exclusivement-de-gauche/.
En d’autres termes, nous refusons que Paris (et autres lieux de France) soit aussi la capitale du crime organisé.
13 avril 2021.
Pour le CER, Jean-Yves Pons, CJA.
*Il s’agit d’une crapule bien connue dans le milieu du trafic de stupéfiants : Hamza Djouhoud, un voyou natif des Comores et implanté à Marseille, très actif dans le milieu marseillais au début des années 2010 et soupçonné d’être impliqué dans plusieurs assassinats de figures du narcobanditisme.