Le parlement a adopté jeudi une loi contre les violences sexuelles exercées sur les mineurs, marquant une «étape historique» dans cette lutte, fixant notamment le seuil de consentement à 15 ans, et 18 ans en cas d’inceste.
«En dessous de 15 ans, c’est non. L’inceste, c’est non», a résumé la rapporteure du texte au palais Bourbon, la députée Alexandra Louis (LREM). Avec cette loi «aucun adulte agresseur ne pourra se prévaloir du consentement d’un mineur» en dessous de 15 ans, a souligné le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti.