Plusieurs officines immigrationnistes ont annoncé, lundi 3 mai, avoir saisi le Comité des droits de l’enfant de l’ONU pour réclamer une enquête sur le traitement des mineurs (étrangers) non accompagnés (MNA) en France. Ils seraient, prétendent-elles, victimes de « violations graves et systématiques » de leurs droits. Mais de quels droit parle-t-on lorsqu’il s’agit de migrants illégaux ?
La saisine, réalisée par le Conseil Français des associations pour les droits de l’enfant (Cofrade), aurait été jugée recevable, selon un communiqué d’Utopia 56, l’une des associations qui soutiennent cette démarche.
Ces associations affirment que de nombreux migrants adolescents arrivant chaque année en France sont victimes d’un « déni de minorité« . Ils sont fréquemment déclarés majeurs et ne relevant donc pas de la protection de l’enfance, lors d’examens qui incluent notamment des tests osseux controversés mais que le Conseil constitutionnel a validés.
Les mineurs authentiques, eux, sont seuls, généralement polytoxicomanes et violents. Ils multiplient les actes de délinquance (deal, vols à l’arraché, cambriolages…) pour le compte de réseaux locaux qui les exploitent et battent tous les records du nombre de déferrements au tribunal pour enfants. Et, de toute façon, ils refusent d’être pris en charge par les services « classiques » de la protection de l’enfance.
Ces MNA, dont les départements ont la charge, subiraient également « des inégalités de traitement (…) au sein du territoire français« . Fin mars, la Défenseure des droits, l’inénarrable journaliste de RFI et militante engagée auprès d’associations tiers-mondistes, Claire Hédon, a par exemple publiquement critiqué le département des Bouches-du-Rhône, qui ne respecterait pas ses obligations légales pour mettre immédiatement à l’abri un jeune en attendant son évaluation. Dans ce département, « les délais d’attente peuvent aller jusqu’à cinq mois », avance-t-elle. Elle a aussi déploré « le caractère structurellement sous-dimensionné du dispositif de mise à l’abri des MNA », qui « perdure depuis plusieurs années » dans ce département du sud-est de la France.
Eh bien sachez que Mme Hédon a raison !
Car nous affirmons que les délais d’attente pour… le renvoi de ces gamins dans leurs familles (pléthoriques et impécunieuses, qui se débarrassent ainsi lâchement de leur progéniture) sont scandaleusement trop longs. Ce renvoi devrait être, en effet…
IMMEDIAT !
Mais ne croyez pas que ces désordres ne concernent que la France. L’Espagne connaît les mêmes, récemment dénoncés par le parti de la droite dure, VOX, ainsi que nous le rapportions ici : https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2021/04/24/espagne-quand-vox-appelle-un-chat-un-chat/.
Si une enquête est effectivement ouverte, les conclusions onusiennes ne pourront heureusement pas forcer la France à modifier sa politique, a expliqué à l’AFP le fondateur d’Utopia 56. « Mais ça va être contraignant pour l’Etat français, au moins en termes d’image« , espère-t-il.
Faut-il lui dire que NOUS N’EN AVONS RIEN A CIRER (أنا لا أهتم ou ‘ana la ‘ahtam, en Arabe) ?