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La justice protège les milices antifas

La justice protège les milices antifas

La solidarité entre gauchiste ne se dément pas. Le tribunal correctionnel de Lyon a relaxé, jeudi 4 novembre, trois des sept militants de l’ultragauche poursuivis pour « violences en réunion » pour le passage à tabac de militants du groupe Civitas, lors d’une manifestation contre le passe sanitaire, le 28 août à Lyon. Les quatre autres ont été condamnés à de simples amendes de 300 euros.

La décision a été accueillie par une salve d’applaudissements, dans une salle où une centaine de sympathisants des milices antifas suivaient les débats.

Le ministère public avait requis des peines de deux mois avec sursis à deux ans d’emprisonnement dont un an avec sursis, mais le tribunal a annulé la quasi-totalité de la procédure. Le tribunal, présidé par Brigitte Vernay, a annulé des réquisitions de saisie et d’exploitation de la vidéosurveillance, pour cause de réquisition trop tardive, ainsi que des réquisitions de téléphonie, estimant qu’elles portaient atteinte à la vie privée de manière disproportionnée. Sic.

A l’audience, le procureur a détaillé les trois minutes de scène de lynchage en pleine rue : un était frappé au sol, à coups de poing et de pied.

Parmi les prévenus, Mehdi H., 36 ans, onze mentions à son casier, pour outrages, refus d’obtempérer, menaces.

Léo B., 22 ans, étudiant en master de droit des libertés, a été pris en photo, sur laquelle on le voit s’acharner sur un homme à terre. L’homme veut devenir avocat. La boucle est bouclée.

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