Le Conseil des ministres a acté la dissolution de l’Alvarium, association caritative et identitaire à Angers et «appelant à la violence et à la discrimination», a été dissous mercredi en Conseil des ministres. Le sinistre de l’Intérieur Gérald Darmanin a publié sur Twitter le projet de décret de dissolution
Cette dissolution est donc justifiée parce que l’association propage notamment
«depuis 2018 un discours et des idées assimilant l’immigration et l’islam à des menaces que les Français doivent combattre».
A ce niveau-là, Darmanin peut dissoudre tous les partis à droite de LREM, y compris les 5 candidats LR, en plein exercice de zemmourisation.
Créée en janvier 2018, l’association se définit comme «un centre communautaire d’actions sociales et culturelles en Anjou». Elle a occupé un immeuble vacant en 2020, sur la façade duquel avaient été accrochées des banderoles «La France aux Français» et «Logement : appliquons la préférence nationale».
Interrogé par l’AFP, Jean-Eudes Gannat, le porte-parole et cofondateur de l’Alvarium, a évoqué les attentats commis sur le sol français avant d’ajouter :
«La seule réaction du ministre de l’Intérieur est de dissoudre l’Alvarium». «La France va à sa perte et tout se paiera un jour».
La réalité c’est que le maire d’Angers, Christophe Béchu, confronté aux agressions des antifas locaux, venus régulièrement en découdre contre les locataires de l’Alvarium, a préféré demander la dissolution de l’Alvarium plutôt que de s’en prendre aux miliciens du régime.
Sur Facebook, Jean-Eudes Gannat a réagi en citant ces vers :