Pourtant il y a à peine deux ans l’entente était parfaite sous prétexte de « sécurité et de bien-être des personnes vaccinées ».
Le marketing faussement bienveillant de l’industrie du vaccin
Dès 2020, les plus grands laboratoires pharmaceutiques s’unissaient – impensable il y a seulement quelques années encore – pour signer une déclaration qualifiée d’historique pour « continuer à faire de la sécurité et du bien-être des personnes vaccinées la priorité absolue dans le développement des premiers vaccins contre la COVID-19 ».
NEW YORK, le 8 septembre 2020 — Les PDG d’AstraZeneca, BioNTech, GlaxoSmithKline plc, Johnson & Johnson, Merck, connue sous le nom de MSD en dehors des États-Unis et du Canada, Moderna, Inc., Novavax, Inc., Pfizer Inc., et Sanofi, ont annoncé aujourd’hui avoir signé un accord historique qui traduit leur engagement commun pour la préservation de l’intégrité du processus scientifique tout au long de leur démarche qui vise à déposer d’éventuelles demandes d’homologation en vue d’obtenir des approbations dans le monde entier pour les premiers vaccins contre la COVID-19.
Nous avons déjà évoqué le fait que l’industrie pharmaceutique ne fait pas de santé publique mais du business dans le secteur de la santé, la communication grand public consiste à construire artificiellement une « image de philanthrope » où la manipulation des masses reste le maître mot. Cette déclaration est postérieure à une entente préalable sur le partage d’un marché des injections qui s’annonçait juteux dès le début de l’épidémie en janvier 2020, date à laquelle Pfizer-BioNtech et Moderna disposaient déjà d’un « candidat vaccin », précisément ceux-là qui ont été commercialisés avec la collaboration des pays occidentaux et fabriqués en 2 jours seulement pour BioNtech si l’on se fie à la propre déclaration de son patron.
Nous avons aussi rappelé la fabrication des vaccins antérieurement à l’apparition officielle de l’épidémie de Sars-Cov-2 et la participation de Moderna à l’ingénierie du Sars-Cov-2.
Le faux prétexte d’une réponse thérapeutique unique pour faire basculer le pouvoir à l’industrie du vaccin
Moderna a misé sur la vaccinothérapie, c’est-à-dire en réalité les thérapies géniques pour développer son activité. Mais ce n’est pas le seul laboratoire à suivre cette voie et Covid a été le déclencheur pour alimenter artificiellement un marché dont les populations se seraient méfiées si on ne leur avait instillé la peur et la contrainte en supprimant les droits les plus fondamentaux comme celui de la libre circulation et l’accès aux lieux publics. On ne reviendra pas sur ces épisodes avec lesquels on devrait cependant renouer d’ici peu avec la variole du singe et le Covid d’automne (2022).
Dans une attente réelle, certains professeurs de médecine annoncent que grâce au Covid, les thérapies géniques à ARNm vont se développer pour traiter les cancers. Oui et c’est tout à fait l’objectif de Big Pharma et pas seulement pour le cancer, ni uniquement pour les personnes qui sont en capacité de financer ces thérapies. Les pays Occidentaux ont montré leur propension à financer ces injections sans limites et sans protection des populations, y compris dans les pays du Sud, notamment en Afrique. Les injections expérimentales ont été payées avec l’argent public au profit de l’industrie pharmaceutique qui s’est enrichie comme jamais depuis qu’elle existe, grevant les finances publiques et affaiblissant l’occident, particulièrement l’Europe dont les politiques de confinement ont accentué la déstructuration de l’économie. Des compensations aux entreprises ont été versées encore sur financement public au point que la France s’est anormalement endettée et fragilisée