Les 4 militants étaient poursuivis pour participation à un groupement armé. Pour rappel, nous nous étions fait écho largement de l’affaire : des antifas avaient tenté d’attaquer les locaux du Rassemblement des étudiants de droite, profitant des émeutes en réaction à la mort de Nahel, et avaient été repoussés avec force par les militants attaqués. Pendant plusieurs nuits, militants antifas et racailles de cité avaient tenté, y compris avec des armes, de s’en prendre physiquement aux militants identitaires. Les autorités avaient fini par ordonné la fermeture administrative du local…sans qu’aucun antifa ni qu’aucune racaille de cité ne soit interpellée, ce qui avait semblé totalement lunaire aux observateurs ayant vécu ces nuits de violence.
Ce jeudi 10 août, les juges ont considéré que les quatre hommes, âgés de 20 à 28 ans, avaient agi en « état de nécessité », proportionnellement à la menace dont ils étaient l’objet. Deux d’entre eux étaient également poursuivis pour port d’arme. Les avocats de la défense ont plaidé la relaxe, faisant valoir l’état de nécessité, tel que défini par l’article 122-7 du Code pénal. Tout en considérant que l’infraction de participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences était bel et bien caractérisée, de même que le port d’arme, les juges ont fait primer l’état de nécessité, à l’exception du militant accusé de violences.
Une relaxe qui manifestement, ne plait pas au journaliste du Monde qui conclut son article par un « rendez vous au prochain affrontement ! » qui en dit beaucoup sur le parti pris d’un « quotidien de référence » au sein de la presse mainstream.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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Commentaires
Les antifas sont des bestiaux.