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La jurisprudence européenne contre les nations et les peuples

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Michel Festivi 

On pourra faire toutes les plus belles déclarations du monde, lancer les plus vivifiantes pétitions de principe, la France et les français ne s’en sortiront pas sans que des mesures énergiques et radicales soient prises.

Deux essentiellement et très vite doivent être décidées. Tout d’abord quitter la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) et la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE), en dénonçant le plus rapidement possible ces traités, et deuxièmement partir avec pertes et fracas du Conseil de l’Europe qui soutant toute cette jurisprudence. Au passage, la France et les français feront des économies substantielles, comme l’importante rémunération de Monsieur Pap Ndiaye par exemple.

Aussi, et concomitamment, procéder à une révision constitutionnelle par référendum, pour faire ériger le droit positif constitutionnel français au-dessus des traités et des lois européennes ou internationales, bref modifier ce que les juristes désignent comme étant la hiérarchie des normes.  C’est ainsi retrouver tout simplement sa souveraineté. 

Parallèlement, et cela peut être entrepris sans attendre, il faut supprimer toutes les aides, tous les financements à toutes nos ONG pro-immigrationnistes qui amènent, avec l’argent du contribuable français qui travaille et qui peine, des milliers et des milliers de clandestins qui vont de surcroit peser d’un poids très lourd sur les finances publiques des pays européens et singulièrement de la France.

Au passage, annuler aussi toutes les subventions à toutes les associations soi-disant « culturelles » ou « humanitaires », qui vitupèrent la France et les français à longueur de temps et qui nous « crachent » en permanence à la figure.

C’est ce que semble indirectement et implicitement nous suggérer Monsieur Jean-Éric Schoettl, ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel et auteur de « La démocratie au péril des prétoires » Gallimard, collection « le débat », 2022.

Le titre de sa tribune au Figaro Vox est intitulé : « Interdiction de refouler les migrants : « entre les intérêts de la France et la jurisprudence européenne, il faut choisir ». Car ce brillant juriste et ancien haut fonctionnaire nous éclaire : « Les décisions successives de la CEDH et, plus récemment de la CJUE, entravent la capacité des Etats à endiguer les flux migratoire » Cf le Figaro Vox, Tribune du 25/09/2023.

Compte tenu de cette jurisprudence européenne qu’il explicite brillamment et avec clarté, les migrants qui arrivent à Lampedusa, ne peuvent être refoulés. Dès lors, il pose la seule question qui vaille : « L’exécutif français est-il prêt à renverser la table de la loi européenne ? Prêt à affronter une levée de boucliers droits-de-l’hommiste venant non seulement de la gauche, des ONG, des médias et des organes de l’Union, mais encore d’une partie de sa majorité ? ».

C’est pourquoi d’ailleurs, le bla-bla de Monsieur Macron ce dimanche soir dernier est inconséquent et irresponsable.

Éric Schoettl appelle à une révision importante des traités car : « maîtriser les flux migratoires est, pour l’Europe, un impératif essentiel. Il commande une modification des traités (comme il commande en France une révision constitutionnelle) ».

Enfin, et pour finir sur une note d’espoir, le Conseil d’Etat, en référé, vient pour la deuxième fois, de rejeter des recours contre l’interdiction du port de l’abaya à l’école, recours présentés par le syndicat SUD éducation et par deux associations, la Voie Lycéenne et Le Poing levé (ça ne s’invente pas).

Si les collectivités, l’Etat, et tous les organismes publics arrêtaient de financer toutes ces associations qui œuvrent à l’encontre de la volonté de l’immense majorité des français (tous les sondages le prouvent), leur impact perdrait beaucoup en puissance et efficacité. Le Conseil d’Etat a une nouvelle fois jugé que : «au vu des éléments produits à l’instruction, le port de l’abaya et du qamis au sein des établissements scolaires, qui a donné lieu à une nombre de signalements en forte augmentation au cours de l’année scolaire 2022-2023, s’inscrit dans une logique d’affirmation religieuse. » CQFD et la boucle est bouclée pour ainsi dire. 

http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2023/09/26/la-jurisprudence-europeenne-contre-les-nations-et-les-peuple-6463056.html

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