Ainsi, la présidente de l’Université de Nantes, qui avait déjà appelé contre toute déontologie à voter contre Marine Le Pen à l’élection présidentielle, a dénoncé publiquement cette loi. Le RN, de son côté, réclame sa démission dans un communiqué adressé à la presse :
« Carine Bernault ne devrait déjà plus être présidente de l’Université de Nantes. En effet, dès 2022, elle allait à l’encontre de la déontologie en envoyant des courriels aux étudiants les incitant à voter contre Marine le Pen.
Elle récidive ce 21 décembre en signant un communiqué contre la loi sur l’immigration légalement votée, et insulte des millions de Français qui n’en peuvent décemment plus de cette situation migratoire anarchique, cause première de l’ensauvagement de notre pays.
Au-delà du fond, il y a un vrai problème de forme. En effet, la présidente Bernault sort de la nécessaire réserve que sa charge lui incombe.
Madame Bernault cède à ses milices d’extrême gauche communautariste et immigrationniste qui prospèrent dans les bâtiments de l’Université. Quand il faut enlever une banderole insultant des forces de l’ordre, comme au mars dernier, elle reste silencieuse. Quand des militants d’un syndicat étudiant patriotre se font agresser par des racailles de gauche, elle les accuse de provoquer. C’est, au fond, une militante politique, et une militante sectaire : double impair !
Soucieux de la neutralité du service public de l’enseignement supérieur, le Rassemblement national (RN) de la Loire-Atlantique demande la démission de la présidente Bernault. L’université de Nantes doit maintenant être dirigée par une personne fiable, ne faisant pas continuellement état de ses opinions politiques personnelles » indique les responsables locaux, Gauthier Bouchet et Bryan Pecqueur.
Pas sûr toutefois que Carine Bernault les écoute.
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