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Clap de fin pour la voiture électrique ?

Ça ne sent pas bon pour la voiture électrique et plusieurs indices sont concomitants pour indiquer un crash généralisé. Plusieurs milliers de voitures électriques chinoises commencent à s’agglutiner dans les ports européens, ne trouvant pas preneurs. Tesla est confronté à la baisse de la demande et licencie, Hertz revient de sa flotte électrique, les clients ne suivent pas, plusieurs constructeurs de voitures électriques ont mis la clé sous la porte et la baisse mondiale globale de la demande est en cours. Voilà déjà plusieurs mois, des capitaines de l’industrie automobile avaient jeté le trouble.

Tavarès de Stellantis avait émis des doutes, Toyota était plus que sceptique, Mercedes avait pris les devants pour quitter l’Europe… tout cela aurait dû inciter les politiciens, dont aucun n’est ingénieur, à faire preuve de retenue dans les décisions. Mais non, nous vivons une époque de politicards qui nous emmènent systématiquement dans les murs, pour l’injonction du tout électrique, pour l’Ukraine, pour les vaccins. Ils ne savent pas, ne connaissent pas, n’ont pas la moindre preuve scientifique sérieuse, savent même qu’ils n’ont que des « preuves » scientifiques frelatées, télécommandées par des lobbies, mais non, ils foncent, aveugles ou corrompus, souvent les deux, nous entraînant dans leur folie.

Et déjà, les publicités pour les voitures électriques sont devenues moins omniprésentes à la télévision, les concessionnaires sont noyés par des flots de bagnoles à piles invendables, les stations de recharge sur les autoroutes sont désertes et tout le monde a perdu beaucoup d’argent avec cette folie. Même s’il y a quelques pays où cela se tient encore un peu, avec l’argument idéologique. Pour chaque modèle électrique vendu, Ford perd environ 130.000 dollars et c’est à peu près le même scénario pour tout le monde. Parlons justement de la fable du carbone : il n’y a jamais eu aussi peu de carbone dans l’atmosphère terrestre au cours des âges, 0,04 %, qu’il y ait ou non une humanité et qu’elle soit ou non industrielle. Et le carbone est nécessaire à la vie. Et la part de l’industrie dans la production de ce carbone par l’homme serait égale à 4 % de ces 0,04 % : insignifiant. Mais cela a permis de mettre en place un système financier « carbone », basé sur du vent et d’organiser la contrainte et la ruine de dizaines de millions de citoyens, avec un discours relayé en forme de propagande, dépourvu de tout soubassement scientifique. Sans compter la perte de compétences sur le savoir faire des moteurs thermiques, à l’heure où le moteur diesel, poussé par les Chinois, dans sa technologie, se révèle comme une solution extrêmement fiable, à 53 % de rendement.

Oui, il va être temps de revenir sur cette folie. A partir du moment où un produit est bon, il n’a besoin ni de publicité ni de subvention. Pour la voiture électrique, il a fallu les deux, signe que le produit est non pas mauvais, mais très mauvais. Il faut maintenant arrêter d’obliger les entreprises et les administrations à investir dans ce concept moribond, revenir sur la fin du thermique en 2035, gérer la fin de ce concept, aussi bien avec les clients qui ont choisi ce mode de locomotion, mais également avec les installations pléthoriques de recharge qui ne servent à rien. Il reste sans doute une forme d’utilisation qui pourra perdurer : la voiture de proximité que l’on recharge chez soi. Avec la fin de ce concept, on doit aussi revenir sur l’arnaque « carbone », montée de toutes pièces et se pencher enfin sur les vrais problèmes écologiques : les produits phytosanitaires, les déchets plastiques dans les océans, les métaux lourds, les déchets sauvages, le recyclage… ce que nous avons toujours préconisé au RPF. Vivre de manière écologique, c’est en premier lieu vivre dans un pays propre, avec des côtes maritimes propres, nettoyer les friches industrielles, dépolluer les terrains, réutiliser les emprises au sol existantes, recycler les matières premières, planifier les flux de marchandises, laisser les ingénieurs travailler sur de nouvelles solutions de motorisation.

Pour cela, il faudra renverser cette Europe qui nous a conduit dans le mur, avec des narratifs hors-sol, racontés au service de quelques actionnaires et totalement déconnectés de la réalité. La voiture électrique, emblème par excellence du ratage industriel, doit constituer un prélude à une prise de conscience qui doit permettre de changer de paradigme et d’imaginer un nouveau modernisme, à base de vraies nouvelles solutions écologiques, mais surtout susceptibles de permettre à un maximum de gens d’avoir accès à des déplacements bon marché, pour son travail et ses loisirs.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com

https://t.me/R_P_France

Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2024/05/06/clap-de-fin-pour-la-voiture-electrique/

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