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La chronique de Philippe Schneider – Des valeurs par-ci, des valeurs par-là… et les lois supérieures dans tout ça ?

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Par Philippe Schneider

Macron, Attal et les autres ministres s’insurgent sur la « perte de valeurs » de beaucoup de « jeunes » qui pillent, violent, tuent dans nos villes et même de plus en plus dans nos villages. Ils en appellent aux « valeurs républicaines » qui ne seraient pas respectées ! Ces « valeurs républicaines » ne sont jamais définies, et pour cause car elles n’existent pas. Que sont des principes qu’ils disent « immuables » mais qui peuvent changer continuellement en fonction d’un vote plus ou moins manipulé ? Et puis, si ces « valeurs » comprennent l’assassinat des enfants à naître, des malades ou des handicapés, au nom de quoi condamner les « jeunes » voyous qui troublent « l’ordre » si cet « ordre » est lui-même « désordonné » ?

Aujourd’hui, l’État républicain ne reconnaît aucune « loi supérieure ». Sous la III° république, il y avait à l’école des leçons de morale. Elles reprenaient en fait les principes de la vie en société de l’Église catholique, les présentant simplement sous une forme plus « laïque ». C’était un moindre mal et cela permettait de donner quelques valeurs à nos jeunes enfants. Ils les gardaient en mémoire toute leur vie. Maintenant, du fait de la volonté de nos dirigeants, il n’y a plus rien. Le résultat est là : la plupart des gens ne croient plus en rien, n’ont plus de repères moraux. Tout devient permis. Au nom de quoi imposer des règles de vie ? Au nom de la Loi ? Mais elle change tout le temps, au gré de votes plus ou moins manipulés ! Les conséquences ne se sont pas fait attendre, il y a un « vide ». Ce vide est vite comblé d’abord par les voyous qui en profitent, la « loi du plus fort » s’imposant et, d’un autre côté, par ceux qui proposent d’autres règles de vie et c’est particulièrement le cas des islamistes. Comme nos jeunes n’ont – pour beaucoup – plus aucune notion du bien et du mal (notions condamnées par le « libéralisme » !), ils peuvent être manipulés très facilement par les plus extrémistes.

Affolés, certain de nos politiques parlent de « décivilisation ». Ils ont raison mais ils ont eux-mêmes détruit les bases de notre civilisation catholique et française. Pire – comme le président –, ils nous disent que la France est finie et doit disparaître dans un grand ensemble « européano-mondialiste » ! Ils rejettent tout : notre nation, dépassée. Notre civilisation, trop catholique. La notion même de vie humaine, l’homme n’étant qu’une ressource parmi d’autres, qui doit être « rentable », donc bon à être rejeté si ce n’est plus le cas, d’où l’euthanazie (non, ce n’est pas une faute d’orthographe !). L’immigration massive que nous subissons, n’est plus gérable. Cela fait partie de la volonté de nos gouvernements depuis longtemps – mais elle est encore aggravé aujourd’hui – de faire disparaître notre unité nationale. Aujourd’hui, si nous voulons pouvoir avoir une petite chance d’intégrer tous ceux qui sont en France, la première chose serait d’arrêter les arrivées. Une manière simple serait de faire savoir que tout nouvel arrivant non autorisé n’aurait aucune aide de quelque sorte, sauf soins indispensables et prouvés nécessaires. Quant à ceux qui sont déjà dans le pays, ils devraient savoir qu’ils doivent respecter nos lois, notre manière de vivre jusqu’à, petit à petit, les intégrer sous peine d’être expulsés, c’est-à-dire interdits de séjour sur le territoire national. Les autres peuvent être les bienvenus dans les conditions décrites ci-dessus. Ce n’est pas du tout ce qui se fait actuellement, au contraire, et c’est voulu pour arriver à la dissolution du pays. Vous me direz, l’U.E. ne sera pas d’accord. C’est vrai, raison de plus de quitter cet ensemble supra-national.

Nos gouvernants veulent justifier leur politique de dissolution de notre pays par la nécessité économique : l’ouverture des frontières, la libre circulation des hommes et des capitaux, le libéralisme économique doivent aboutir au progrès, à un niveau de vie meilleur, à la prospérité. C’est cette politique qui est appliquée de plus en plus depuis Giscard. Or, le résultat est là : la France est en faillite, couverte de dettes (le paiement des seuls intérêts devient le premier poste budgétaire), nos industries disparaissent, notre agriculture ne peut plus nourrir notre population et nos agriculteurs ne peuvent plus vivre de leur travail, notre commerce extérieur est très largement déficitaire, le chômage est toujours présent, les travailleurs ont de plus en plus de mal à vivre… et j’en passe ! C’est le désastre. Et pour redresser la situation, Macron propose tout simplement de continuer la même politique en allant plus loin dans l’intégration européenne. C’est la « fuite en avant » et tant pis pour la France mais il pense sans doute surtout à son avenir personnel !

Non, la France n’est pas morte et c’est justement en rompant avec cette politique mortifère, en rendant son indépendance à notre pays sur des bases traditionnelles mais renouvelées (la tradition doit être vivante) que nous pourrons la relever. L’Union européenne n’est pas une construction naturelle, elle s’effondrera le jour où tous les pays qui la composent seront les vassaux du plus puissant. Dans les deux cas, ce sera très mauvais pour nous. Plus tôt nous la quitterons pour regagner notre indépendance et construire avec d’autres pays des alliances solides, mieux cela sera pour nous. Mais pour y arriver, il faut à notre tête un chef qui soit lui-même indépendant et désireux de faire progresser notre France. Notre Roi Jean !

https://www.actionfrancaise.net/2024/05/06/la-chronique-de-philippe-schneider-des-valeurs-par-ci-des-valeurs-par-la-et-les-lois-superieures-dans-tout-ca/

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