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Brest. Un couple violemment agressé à son domicile par un migrant clandestin tunisien sous OQTF : “On a cru qu’on allait mourir !”
L’auteur présumé du coup de couteau, âgé de 30 ans, d’origine tunisienne, faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français. Il a été conduit dans un centre de rétention administrative mardi 28 mai. Il est convoqué devant le tribunal, à Brest, en janvier 2025.
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Un coup de folie poutinien est requis, de toute urgence
par Mike Whitney
La conférence de presse du président Poutine le mercredi 29 mai 2024 en Ouzbékistan pourrait bien être l’événement le plus inhabituel et extraordinaire de ses 24 ans de carrière politique. Après avoir abordé les questions constitutionnelles entourant la décision du président ukrainien Zelensky de rester au pouvoir au-delà de son mandat de quatre ans, Poutine a fait une déclaration brève mais inquiétante sur le projet de l’OTAN de viser avec des armes à longue portée certaines cibles en Russie. Poutine a clairement indiqué que la Russie répondrait à ces attaques et que les pays qui auront fourni les systèmes d’armes en question en seraient tenus pour responsables. Il a également donné une description très détaillée du fonctionnement des systèmes et de la manière dont ils nécessitent que les entreprises du pays d’origine soient directement impliquées dans leur fonctionnement. Ce qui est si remarquable dans les commentaires de Poutine, ce n’est pas le fait qu’ils rapprochent le monde d’une confrontation directe entre adversaires dotés de l’arme nucléaire, mais le fait qu’il a dû rappeler aux dirigeants politiques occidentaux que la Russie ne va pas rester les bras croisés et rendra les coups. Voici un extrait de ce que Poutine a dit :
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AA – : Le-Maire : rien à battre
Les agences internationales de notation Moody’s et Fitch avaient maintenu le AA de la France, nous en avions parlé au RPF, en expliquant que Macron les avait convaincues par sa capacité à lever l’impôt, entendre piocher dans nos comptes en banques et en gageant nos économies. Le tour de passe passe n’a pas trompé Standard and Poor’s, qui a abaissé la note de la France, sanctionnant ainsi la «détérioration de la position budgétaire» du pays. «Le déficit budgétaire de la France en 2023 a été nettement plus élevé que ce que nous avions prévu», a expliqué la société américaine, doutant de la capacité du tandem Le-Maire/Macron à faire revenir le déficit sous les 3% du PIB d’ici 2027.