Depuis deux mois, de manière grotesque, la gauche essaie de faire croire au bon peuple qu’elle a gagné les élections, et que le tyran Macron la prive de sa victoire en refusant de nommer l’inconnue Lucie Castets à Matignon.
Mélenchon et ses complices essaient de faire oublier leur coup d’État électoral – parlons comme eux – qui a consisté, au soir du premier tour, dès 20 heures, alors que le RN culminait en tête et allait avoir la majorité à l’Assemblée, à retirer ses candidats dans plus de 100 circonscriptions, permettant à Macron et ses alliés de dépasser les 150 sièges.
Mélenchon et ses complices essaient également de faire oublier que Macron lui a renvoyé l’ascenseur, et que c’est grâce au retrait de plus de cent candidats de la majorité sortante s’ils ont pu avoir 174 sièges.
Mélenchon et ses complices essaient de faire oublier qu’alliés avec Macron, encore, ils ont bafoué le vote de 10 millions de Français et privé le RN de tout poste à l’Assemblée nationale.
Mélenchon et ses complices essaient de faire oublier le spectacle comique, qui a duré quinze jours, où ils ont essayé de nous vendre la sénatrice Huguette Bello, puis la chercheuse écolo-tarée Laurence Tubiana, et qu’il leur a fallu bien du temps pour tomber d’accord sur la grotesque incompétente Lucie Castets, obligée de nous sortir les détails de sa vie privée pour intéresser les gens.
Sans cette gigantesque magouille entre les immigrationnistes lécheurs de babouches de gauche et les lécheurs de babouches immigrationnistes de Macron, Bardella serait à Matignon – ce qui ne veut pas dire que cela aurait été la meilleure chose pour le RN, mais c’est un autre débat.
La nomination de Barnier, permise par le RN, après les hypothèses comiques de Cazeneuve, Bertrand, Beaudet, a rendu fous de rage les élus de gauche, qui ont fini par comprendre que leur stratégie était perdante, et qu’on ne pouvait prétendre diriger un pays avec 30 % des voix et 70 % d’électeurs hostiles.
Bien sûr, ils ont commencé à nazifier Barnier, le faisant passer pour l’otage du RN.
Et donc, ces apprentis dictateurs, sectaires, haineux et anti-français ont cru qu’il leur suffisait d’un claquement de doigts, d’appeler le peuple à descendre dans la rue pour protester contre le prétendu coup d’État de Macron, avec Barnier, pour montrer leurs muscles et intimider le pouvoir. Ils n’ont fait que se ridiculiser davantage, n’étant capables de mettre que 25 000 manifestants à Paris, et 100 000 dans toute la France, mélange de jeunes crétins boutonneux comme le chétif Manes Nadel, de professionnels du militantisme défendant leur bifteck, de curés de gauche incurables et de pro-palestiniens antisémites. Le pire est que nombre de ces abrutis sont convaincus qu’ils ont été volés de leur élection, et ne se rendent même pas compte que ce sont eux et leurs chefs qui se sont vendus à Macron, et ont bafoué le vote du peuple.
Finalement, si Mélenchon et ses complices n’ont pas abusé le vrai peuple, qui s’est détourné d’eux depuis longtemps, les 100 000 abrutis qui ont manifesté ce samedi ont donné raison, à titre posthume, à Goebbels, qui disait que plus le mensonge est gros, et mieux il passe.
Finalement, les nouveaux Goebbels, c’est la gauche pleurnicharde, haineuse, antisémite et anti-française.