Il refuse de couler tout seul.
Un véritable passeport pour la 3e guerre mondiale, si on autorise le forcené de Kiev à faire joujou avec des Storm Shadow, des JASSM et des Taurus
L’ultime argument de Zelensky, c’est que si Poutine avale l’Ukraine, il avalera toute l’Europe. Autrement dit, une nouvelle URSS de Gibraltar à Vladivostok. Une fable éminemment grotesque, mais que certains crétins en Europe gobent sans sourciller. Il faut dire que pour von der Leyen, Borell et les quelques bras cassés qui sévissent en Europe, la géopolitique et l’analyse stratégique sont de l’hébreu. Ca gouverne sans le moindre bon sens et nous n’avons malheureusement pas un Poutine ou un Netanyahou pour nous sauver du naufrage.
Car le plan pour la victoire de Zelensky est le meilleur moyen d’expérimenter la première guerre nucléaire de l’humanité. Et ce ne sera pas une partie truquée comme à Hiroshima et Nagasaki, où un seul joueur avait tous les atouts en mains. Ce sera une confrontation fair-play, une autodestruction à la loyale, avec 6 000 têtes nucléaires dans chaque camp.
En fin de partie il ne restera plus grand chose de vivant sur Terre, mais l’Occident aura défendu « ses valeurs » jusqu’au bout. L’honneur sera sauf car l’Ukraine vaut bien ça !
On a rarement vu le saltimbanque de Kiev aussi affolé. Il est même terrorisé en voyant la défaite approcher à grande vitesse et à l’idée de devoir rendre des comptes pour les deux millions de morts et d’éclopés, après 30 mois de promesses d’une victoire écrasante sur la première puissance militaire du monde, faites à son peuple. Il tombe de haut en se voyant lâché par les mêmes qui le nommaient naguère le « nouveau Churchill ». La vérité est que l’Ukraine vaincue est devenue un boulet. A 400 milliards, ça fait cher la défaite, d’autant plus que la Russie se porte mieux qu’avant les hostilités.
Partout les Russes avancent, prenant un village par jour. A Koursk, l’incursion se solde par un désastre, avec 25 000 soldats ukrainiens mis hors de combat. Si certains résistent, d’autres désertent ou se rendent. Perdre 25 000 soldats pour occuper temporairement 1 000 km2 de territoire russe, sur les 17 millions de km2 de la Russie, c’est de la stratégie de Pied Nickelé.
La grave erreur de Zelensky est d’avoir cru naïvement que les standing ovations et les milliards que l’Occident lui prodiguait à chacune de ses visites, étaient synonyme d’engagement sans réserve de l’Otan, un genre d’article 5 en quelque sorte. Tout cela lui est monté à la tête. Il a peur et réclame l’intégration de l’Ukraine à l’Otan.
La roue tourne dans le mauvais sens et il sait que tous ceux qui se sont enrichis sur le dos de l’Occident, en sacrifiant sciemment le peuple ukrainien, ne sont pas assurés de pouvoir profiter bien longtemps de leur fortune si mal acquise.
Son plan pour la victoire, c’est un catalogue de mesures suicidaires pour l’Otan et l’Europe.
Pas question de concessions territoriales. Donc troupes au sol otaniennes en Ukraine, missiles longue portée pour effectuer des frappes au coeur de la Russie, création d’un dôme de fer de type israélien, armements et milliards à profusion. Le point essentiel étant l’adhésion à l’Otan dans les plus brefs délais.
Tout le monde est sceptique sur ce plan qui repose à 100% sur l’effort occidental.
Ce qui n’empêche pas les pays occidentaux de promettre un soutien inébranlable à Kiev.
Voici les cibles que Zelensky veut frapper si Washington donne son feu vert :
« La liste des installations russes comprend notamment : des usines de poudre à canon à Kazan, Tambov et Perm ; des aérodromes situés jusqu’à 1 000 km de la frontière ukrainienne ; des entreprises du complexe militaro-industriel russe qui produisent des drones, des armes à missiles et d’autres munitions. Outre la demande de missiles et l’autorisation de frapper les installations spécifiées, les Ukrainiens ont demandé à leurs partenaires d’approuver les frappes des forces armées ukrainiennes sur les quartiers généraux et les postes de commandement des forces armées russes à Rostov-sur-le-Don, Voronej, Moscou, Belgorod, Koursk, Saint-Pétersbourg et Sotchi, les centres logistiques, les terrains d’entraînement, les nœuds de transport, notamment le pont de Crimée, les directions du FSB et de la Garde russe dans les régions. »
« Les cibles devraient également inclure des unités de défense aérienne à des distances allant jusqu’à 500 km, des dépôts d’armes, la base de la flotte de la mer Noire de la marine russe à Novorossiisk, des raffineries de pétrole, des installations de réparation du ministère russe de la Défense, et un certain nombre d’agences du gouvernement fédéral situées à une distance allant jusqu’à 1 000 km des sites de lancement. »
Pas besoin de vous faire un dessin. Si cette folie était mise en oeuvre, ce sont 144 millions de Russes qui voudraient raser l’Ukraine et même quelques cibles en Europe… Pour cela, ils disposent de 6 200 têtes nucléaires.
Il est donc temps de siffler la fin de partie et de larguer Zelensky avant l’irréparable.
Laissons le Tsar reprendre tout ce qui est russe et ne nous mêlons pas de cette guerre qui n’est pas la nôtre. Si le régime ukrainien mis en place par un coup d’Etat de la CIA en 2014, avait respecté les accords de Minsk, l’Ukraine n’en serait pas là. Zelensky aura conduit son peuple en enfer et il faudra bien qu’il en endosse la responsabilité.
Quant aux crétins d’Européens, s’ils avaient arrimé la Russie à l’Europe en 1990, au lieu de se laisser berner par les Etats-Unis et de snober le plus grand pays d’Europe, blanc et chrétien qui plus est, nous serions en paix pour mille ans.
Mais nous avons fait le choix de la mondialisation et du multiculturalisme qui va tout emporter. A la fin de ce siècle, il ne restera plus que des lambeaux de notre civilisation occidentale.
Jacques Guillemain
https://ripostelaique.com/voici-la-liste-des-cibles-que-zelensky-veut-frapper-en-russie.html