Paul Varry, jeune cycliste de 27 ans, a été assassiné à Paris par un automobiliste avec lequel il s’était « embrouillé » et qui n’a pas hésité à lui rouler dessus.
L’émotion a été bien sûr immense et légitime.
Elle est riche d’enseignements du fait de la différence de traitement avec le meurtre de Philippine car la sensibilité écologiste vélophile a entraîné une vraie récupération pour le coup, immédiate et massive venue de la gauche anti-bagnoles.
D’autant plus que la victime était un militant actif de la cause du vélo en ville. Le diagnostic immédiat a été que cet assassinat volontaire était dû à un système présumé favorable à la voiture, cette pelée, cette galeuse. Le Monde titre même « en finir avec les violences routières » assimilées au patriarcat de « mâles toxiques » ! Avec un vrai cynisme, la gauche exploite ce fait de société et Hidalgo annonce vouloir donner un nom de rue à ce malheureux Paul Varry. Une cinquantaine de manifestations se sont déroulées d’ailleurs partout en France. La même municipalité avait fait décoller en urgence les affiches de Philippine dont la présence « glaçait » Mme Hidalgo ! Souvenons-nous également les injonctions de la gauche appelant à respecter un temps de deuil dans les meurtres de Lola ou Thomas entre autres cas liés à l’immigration !
Mais un élément aurait dû attirer notre attention : le nom du conducteur n’était jamais cité et depuis de nombreuses années c’est un signe fort, fiable et constant concernant l’origine des délinquants.
Il suffit de faire des recherches et de lire tous les articles de la presse mainstream : on vous donne son prénom, Ariel, son âge, le fait qu’il s’agit d’un père de famille de 52 ans mais rien de plus. Certains plus hardis signalent qu’il est « d’origine algérienne ». Mais par la grâce des réseaux sociaux on peut en savoir plus. Il s’agit d’Ariel Melki Chamoun, originaire d’Algérie, donc ayant éventuellement la double nationalité, connu de la justice pour des faits de violence et d’escroquerie.
Alors, on peut naturellement se poser une question : et s’il s’agissait d’un francocide ?
En effet, en sus de l’évolution de notre société vers l’ultra-violence, telle que décrite par Laurent Obertone dans la France Orange Mécanique, se pourrait-il qu’un facteur raciste motive ce meurtre ? Quand on connait le ressentiment et la haine développés en Algérie contre la France et les Français, une altercation avec une personne visiblement française de souche comme Paul Varry a pu être le déclencheur d’une pulsion de violence de l’assassin supportant mal les remontrances de ce jeune « francaoui ».
Cette question mérite d’être posée semble-t-il … Un autre enseignement de cet épisode supplémentaire de la France Orange Mécanique est la réaction de la gauche : récupération, bien sûr, amalgame, bien sûr, mais surtout, comme avec les couteaux dont la possession est maintenant pénalisée, ce sont les SUV qui vont subir les foudres de la bien-pensance. Camions fous, voitures folles, couteaux fous, cette cécité volontaire vis-à-vis du réel des gaucho-progressistes est caractéristique de leur logiciel
Le gauchisme est bien une maladie mentale !
Alain de Peretti