Une expérience particulière a inspiré la réflexion suivante, et en cette période festive c’est poétiquement qu’elle s’exprime…
Par Rodolf Hertig
« Arrête de crier, t’es violent ».
« Non mais franchement, parle calmement là ».
« T’as vraiment besoin d’illustrer tes propos de façon si provocatrice ? »
« Non mais le fait que tu hausses le ton démontre tellement que tu as tort ».
Abhorrer toute manifestation de force est un symptôme.
Mais de quoi ?
De la traîtrise, de la malignité…
Messieurs les couards,
la seule réponse qui vous sied est l’Épée.
Votre ignorance et votre inculture sont claires,
et ce malgré vos parures et postures de sachants,
de gnostiques,
elles ne font que trahir votre insignifiance.
Votre incapacité à formuler une pensée droite
est bien le témoignage de votre absence de corps,
à l’image de votre pensée,
vous n’êtes que miasmes navrants.
Si la raison n’a su avoir raison de votre inconsistance,
c’est l’Épée qui y parviendra.
L’Épée c’est bien la Force.
Le fil de sa précision,
le percutant de son illustration
et le tranchant de sa justesse.
Elle n’a vocation ici qu’à vous désarçonner
et tailler dans votre chair informe :
c’est bien là son plus bel effet.
Ridicules pensées en mosaïque ;
assemblages maladroits de bêtises d’ailleurs
ou de sagesse,
d’ailleurs,
peu importe.
Tout, tant que ça ne vient pas de chez nous.
Votre incohérence vous trahit
et rend votre parlé inaudible.
Vous bâtissez sur du vent,
vous vous enracinez dans de l’air
et ce car vous ne pouvez le faire en votre Terre.
Brasseur d’air et destructeur du monde de nos pères.
Voici ce que vos miasmes brassent.
Mais que fait-on à un moulin s’il détruit le grain ?
On le répare ou, à défaut, on l’enflamme.
Cherchez seulement à confronter votre vacuité
à l’argumentation construite et cohérente
et c’est la Force qui vous répondra.
L’incendie, votre destruction.
Votre purification peut-être.
Vous n’êtes qu’agitateurs d’air,
machines à tisser et enfileurs de perles.
Rien n’a de sens lorsque vous jactez ;
vous sautez du coq à l’âne,
passez d’un point à l’autre
sans raison ni motif ni rapport.
Vous justifiez en imposant, non en expliquant.
Vous vociférez vos nœuds
comme une manifestation inconsciente de votre détresse,
de votre néant.
L’image même de vos maux :
vous n’êtes qu’immondices miasmatiques,
forgés dans le refus de vous-mêmes,
de vos pères, vos pairs et votre Terre.
Des aliénés.
Vous ne combattez plus,
vous avez déjà abandonné et fui,
votre Force est perdue.
Vous souhaitez désormais rendre enviable votre perdition
comme pour vous rassurez,
comme si c’était là la vraie mission.
Déserteurs.
C’est par l’épée que l’on vous traite
et c’est par l’épée que l’on continuera de vous traiter.
Rien ne doit être préservé de vos bassesses.
Destructeurs.
Vous n’aviez qu’à servir jusqu’à périr,
vous avez choisi de fuir
et de trahir.
Ne vous encombrez pas,
répondez à la couardise par l’Épée :
longue est la route,
périlleux sont les chemins,
malins sont les trompeurs.
Pensez clair, marchez droit, servez le Roi !
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