Depuis son entrée fracassante en politique, et particulièrement son retour à la Maison-Blanche, les avis sur Donald Trump se partagent entre idolâtrie et anathème, en France. Cependant, sans en faire un messie ou un démon, il faut reconnaître au Président américain son sens du tranchant. Or, dans nos sociétés gangrenées par le droit quasi absolu pour les uns et l’interdit, tout aussi quasi absolu, pour les autres – comprendre tous ceux qui ne prient pas à la grand-messe progressiste –, il est bon de trancher précisément.
Car il convient de s’interroger sur l’avenir de nos sociétés occidentales, la France en premier lieu : voulons-nous disparaître sous les coups de boutoir du wokisme et ses nombreuses déclinaisons ? Ou, au contraire, voulons-nous sauvegarder notre identité ?
Ce tranchant pourrait de surcroît permettre des économies très nettes. Songeons par exemple au financement de la fameuse « exception culturelle française » qui n’est en en réalité que le cache-sexe d’un financement idéologique. Idéologie qui abhorre la France réelle et, inversement, adore tout ce qui crache sur notre pays. Ce qui est un comble lorsque l’on sait que cette exception culturelle est perfusée par l’argent public, c’est-à-dire celui des Français ainsi insultés et qui, pour une écrasante majorité, n’en profitent pas. Parce que la culture – ce qu’il en reste ! – est aux mains de la gauche et ses officines plus ou moins extrémistes. Donc, une majorité de Français ne sont pas représentés dans les choix idéologiques culturels. Pourquoi alors continuer à financer la culture dans ce cas, que ce soit à travers les subventions de toute sorte ou le fameux Pass idéologiquement très sélectif ? La question mérite d’être posée.
Dernier exemple en date de matraquage idéologique, le film de Delphine et Muriel Coulin, Jouer avec le feu, et dont voici l’histoire éculée : « Pierre élève seul ses deux fils. Louis, le cadet, réussit ses études et avance facilement dans la vie. Fus, l’aîné, part à la dérive. Fasciné par la violence et les rapports de force, il se rapproche de groupes d’extrême-droite, à l’opposé des valeurs de son père. »
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=313778.html
Ce qui vaut pour la culture vaut aussi pour les médias, inféodés presque tous au progressisme le plus crasse et qui véhiculent une propagande nuisible à la France.
Autres pôles de dépenses scandaleux : les associations militantes. En quoi financer les groupuscules antiracistes – qui le sont en réalité, particulièrement contre les Blancs –, antispécistes – qui nient la nature omnivore de l’homme –, LGBT – qui détraquent nos enfants avec des théories fausses et dangereuses –, pseudo-féministes – obsédés par le mâle blanc mais moins par la soumission des femmes en islam – est-il une nécessité vitale pour le pays ? Prenons notre exemple, ici même, à Riposte laïque : nous ne vivons que grâce aux dons généreux des lecteurs – qu’il en soient remerciés –, contrairement à ces associations gavées de subventions et qui, au lieu d’être reconnaissantes, insultent et agressent à l’occasion la France.
Parlons encore des programmes de réinsertion des délinquants et/ou détenus, dont la plupart ne sont pas derrière les barreaux pour avoir volé des pommes à l’étalage ! Pour l’heure, ces criminels sont bien mieux traités que leurs victimes et bien entendu que les pauvres petits Blancs incarcérés, ces derniers torturés, voire condamnés à mort, le malheureux Robin Cotta en a récemment fait les frais. Donc, ces terroristes, dealers, criminels en tout genre, et pour une écrasante majorité allogènes, seraient nettement plus utiles et moins coûteux s’ils étaient employés à refaire les routes, aider le monde agricole, etc., sous une étroite surveillance, à la manière américaine. Au lieu de ça, on les promène en forêt où ils en profitent pour s’évader :
Au-dessus de toutes ces dépenses, auxquelles il faudrait ajouter les comités qui ne servent à rien sinon placer les petits camarades de promotion de l’ENA ou Sciences Po, ou encore les dépenses somptuaires présidentielles et ministérielles qui ne concernent qu’un microcosme déconnecté, il y a le coût exorbitant de l’immigration. Là on atteint des sommes vertigineuses : environ 54 milliards d’euros par an :
Dans ces quelque 54 milliards, on ne compte pas le coût des dégradations et violences en tout genre causées par ces fameux migrants qui, loin de la légende gauchiste tenace, ne sont pas une chance pour la France, à l’exception de quelques-uns qui ne sont toutefois pas assez nombreux pour montrer l’exemple à la majorité arrivant chez nous avec un goût de haine dans la bouche. Et, cerise sur le gâteau, le pays dont sont originaires ces migrants sont eux-mêmes aidés financièrement par la France, notamment cette insupportable Algérie, accrochée à la France comme des morpions ailleurs !
Voici donc en quoi Donald Trump peut nous inspirer, lui qui vient de sonner la fin de la récré aux États-Unis, appliquant par ailleurs cette phrase de son lointain prédécesseur J.F. Kennedy, lors de son discours inaugural, le 20 janvier 1961 : « Ainsi, mes chers compatriotes américains : ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais bien ce que vous pouvez faire pour votre pays. »
Cette volonté d’unification patriotique, que l’administration Biden avait mise à terre en clivant à outrance la société américaine, il est grand temps de l’appliquer à la France, qu’il s’agit d’expurger au plus vite !