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On espérait tellement cette victoire de Donald Trump, mais surtout ce qui allait suivre, on attendait tellement les déclarations fortes que ferait inévitablement le nouveau président des Etats-Unis, qui a juré de détruire l’Etat profond, que certains avaient parfois peur qu’au dernier moment il mette de l’eau dans son vin. Eh bien, ceux qui avaient peur ont eu tort.
Il a été exceptionnel, et a proposé au monde un discours en rupture totale avec la propagande mondialiste. Il a réhabilité la Nation, la souveraineté, l’identité, le patriotisme, même le nationalisme, alors que nos ennemis nous expliquent que tout cela, c’est ringard, réactionnaire, voire même fasciste et bien sûr d’extrême droite.
La porte-parole de la diplomatie russe a réagi le 21 janvier aux déclarations faites à Davos par Olaf Scholz concernant la liberté d’expression en Allemagne. La diplomate a notamment mis en avant le cas des médias russes dont les activités ont été restreintes dans le pays.
Un Tunisien qui venait de dégrader une quinzaine de voitures, pour en voler le contenu, sur un parking de Saint-Cyr-l’Ecole, a été interpellé ce lundi. Son audition, d’une honnêteté désarmante, en dit long sur les failles migratoires et le mode de vie adopté par certains de ces clandestins, faute de ressources. (…)
Le cas du Havre évoqué sur une radio d’information. La ville d’Edouard Philippe est devenue la porte d’entrée de la drogue en Europe, avec des pratiques qui confinent à celles d’un pays en voie de développement : intimidation et meurtre de dockers, pression sur des témoins à charge en plein tribunal. Et la cadre de la lutte, quand on lui demande le profil des contrevenants, se perd en paraphrases : « Le profil habituel », « des profils importants pour les services de police et de justice »… mais encore. On n’a pas le droit. Et Piolle, le maire de Grenoble, l’un des premiers concernés, enchaîne sur le même sujet, alors que sa ville est devenue un genre de Chicago, où il ne maîtrise plus trop la situation. Il paraphrase lui-aussi : il peut encore aller partout, mais le dialogue est devenu difficiles dans certains endroits, où justement, sévissent les dealers. Mais selon Piolle, il n’y a pas de coupable, il n’y a que des jeunes « fracassés », des familles « éplorées », des services sociaux qui n’ont pas fait leur travail, ou qui peinent, faute de subsides… ben voyons. Des coupables ? Oui, les grands cartels de la drogue, en fait personne donc, c’est loin, c’est impalpable, un cartel international. Que propose-t-il ? La légalisation. Ben voyons, encore une fois. Pendant qu’il y est il peut aussi proposer la légalisation du viol et du meurtre, ça évitera que les services de maintien de l’ordre se cassent la tête. Lui non plus ne nomme pas, parce que c’est impossible légalement, même si tout le monde a compris de qui on parlait. On mesure à quel point l’État s’est donné tout seul des contraintes destinées à éviter que l’on nomme les gens, les coupables… et cela profite largement aux voyous, qui savent qu’on ne les nommera pas et que leur faute sera répartie sur l’ensemble de la population, par correction politique.