Lénine et le communisme : plus de 110 millions de morts / Pierre Sergent : membre de l’OAS mais aussi opposant à l’occupation nazie et héros militaire.
La Ligue des droits de l’homme et SOS Racisme ont porté plainte contre Louis Aliot, maire de Perpignan, qui avait donné en 2020 le nom de Pierre Sergent à une place de sa ville.
Motif de cet acharnement droitdelhommiste à géométrie variable que le tribunal administratif de Montpellier vient de satisfaire :
« Célébrer les criminels de l’OAS, c’est cautionner leurs crimes, et ça, la Justice vient de rappeler que c’est non. La mairie de Perpignan est désormais sommée de débaptiser l’esplanade, et ce ne sera sans doute pas la dernière fois que le RN devra reculer sur ses obsessions réactionnaires. »
La « justice » d’une France sado-masochiste explique sa décision en ces termes choisis :
« Le choix de cette dénomination […] a été de nature à heurter significativement la sensibilité du public ».
Mais de quel public s’agit-il peut-on légitimement s’interroger ?
Serait-ce ce public que d’aucuns nomment la « cinquième colonne » aux ordres des dirigeants algériens ? Donner le nom de Pierre Sergent à une place municipale et ainsi reconnaître les qualités héroïques d’un officier français qui s’est battu en Algérie serait-ce inadmissible pour les lobbies immigrationnistes si influents parmi une grande partie des « juges » qui sévissent dans nos tribunaux ?
Sommes-nous en droit, nous aussi, d’être choqués, et même révoltés, parce que plus de 50 rues portent ,encore et toujours, le nom du plus grand criminel de l’histoire en la personne de Lénine ?
Dans un communiqué, la mairie de Perpignan a annoncé son intention de défendre «avec force en appel» la dénomination de l’esplanade «Pierre-Sergent».
Soutenons, quelque soient nos choix politiques, cette décision de Louis Aliot de refuser de céder aux complices de la submersion migratoire.
- Téléphone : 04 68 66 30 66 – 06 70 15 84 31
- Courrier électronique : monsieur.le.maire@mairie-perpignan.com
Paul DEROGIS