Elias, un collégien de 14 ans, poignardé à mort lors du vol de son téléphone ; les auteurs étaient déjà connus de la police.
Elias a été poignardé à la sortie d’un entraînement de football dans le 14e arrondissement de Paris, pour avoir résisté au vol de son portable. Deux mineurs de 16 et 17 ans, connus de la justice, ont été arrêtés et mis en examen pour «extorsion avec violences ayant entraîné la mort» de l’adolescent.
En réalité dans leur communiqué ses parents affirment que leur fils avait remis son téléphone aux agresseurs, il a tout de même été attaqué à la machette… et non au couteau comme rapporté par la plupart des médias !
« Notre fils est mort, notre chagrin est immense, notre vie est détruite (…) Elias n’est pas un fait divers (…) Sa mort démontre que l’État n’a pas su protégé ses citoyens (…) ».
Pour eux « Elias n’est pas un “simple fait divers” », leur fils ayant été massacré par deux mineurs “de type africain et antillais” ultra-connus des services de police pour des faits de vol avec violence.
Ils avaient interdiction d’entrer en contact et devaient comparaître devant le tribunal pour mineurs en juin.
Et les parents endeuillés de s’interroger :
« Comment deux adolescents armés, interdits de contacts entre eux par la justice, connus défavorablement des services de police et judiciaires pour des faits similaires, ont-ils pu en toute impunité, poursuivre leurs exactions ? ».
Jusqu’à quand la « clémence » de la justice va-t-elle profiter encore et toujours aux criminels laissant les parents des victimes dans le désarroi et l’interminable chagrin ?
Rastignac