En France, il est fréquent, quand un de nos jeunes est victime d’un assassinat sordide de la part de clandestins qui n’avaient rien à faire dans notre pays, que des groupes de patriotes, de manière pacifique, aient envie d’exprimer leur colère et de rendre hommage à la victime, tout en interpellant les autorités pour que cela ne se reproduise plus. Mais ces jeunes résistants sont souvent confrontés à un double harcèlement : celui de gauchistes capables de les agresser physiquement ou de perturber une minute de silence, comme à Vienne, après la mort de Philippine…
… ou bien le harcèlement des policiers, qui, avec parfois beaucoup de zèle, obéissent aux ordres des préfets, qui eux-mêmes suivent les consignes du ministère de l’Intérieur, et au mieux fichent les jeunes manifestants, au pire les collent en garde à vue, avec perquisition matinale et confiscation de tout leur matériel, pour le plus grand bonheur, bien sûr, de la presse collabo d’extrême gauche. Cela est arrivé à Lyon, notamment à un couple de jeunes identitaires révoltés par la mort de Thomas à Crépol.
Nous ne devrons jamais oublier, au lendemain de la mort de Thomas, justement, qu’à Romans, des jeunes montés pour exprimer leur colère ont été arrêtés sans ménagement par les forces de l’ordre, et condamnés dans les 24 heures à dix mois de prison fermes par des juges collabos particulièrement zélés. Pendant ce temps-là, les assassins n’ont pas encore été arrêtés !
Depuis la multiplication d’attentats musulmans et d’agressions racistes de migrants contre de jeunes Français, il n’y a eu qu’un seul Gaulois qui, sur un coup de folie, est passé à l’acte. C’est un nommé Christophe qui, clairement, ne supportait plus ce qui se passe dans notre pays, et a abattu un Maghrébin qui apparemment ne posait de problème à personne, à Puget-sur-Argens, dans le Var. On peut penser que l’appareil d’État sera impitoyable avec lui, et que cet homme sera bien plus lourdement condamné que nombre de racailles qui ont assassiné un des nôtres et bénéficient trop souvent d’une scandaleuse mansuétude de la part des juges.
On n’a pas oublié, dans un autre pays socialiste – car la France de Macron est dominée par le discours idéologique de la gauche – après le meurtre par un Rwandais de trois jeunes filles qui sortaient d’un cours de danse, que la colère populaire a été telle que de nombreux Anglais des classes populaires, révoltés par ce nouveau crime, sont massivement descendus pour exprimer leur colère. La riposte de Keir Starmer, Premier ministre travailliste – complice, alors qu’il était procureur chargé de l’enquête, du silence des autorités britanniques sur les viols massifs de fillettes anglaises par des gangs pakistanais – avait lourdement frappé les manifestants, libérant de dangereux criminels pour enfermer pour plusieurs années des Anglais révoltés par ce crime. Certains emprisonnés mourront en détention, quand d’autres ne vivent pas un enfer dans les geôles anglaises, au milieu des musulmans, majoritaires dans les prisons.
Ce qui est en train de se passer dans l’Espagne socialiste de Pedro Sanchez – l’homme qui a fait déterrer le cadavre de Franco – paraît suivre le même chemin. Des colères très semblables à celles qui se sont déroulées en Grande-Bretagne ont éclaté, suite à l’agression gratuite, comme il en existe des centaines tous les jours dans les pays occidentaux islamisés, d’un retraité de 68 ans par trois racailles africaines. Bien sûr, la priorité du régime socialiste n’a pas été de protéger les Espagnols de nouvelles agressions, elle a été de protéger la communauté des agresseurs, et surtout de traquer les Espagnols qui ont osé relever la tête, et exprimer physiquement leur colère devant ce lynchage subi par un des leurs. Bien sûr, s’ajoute à cela, comme en France et en Grande-Bretagne, la traque contre les militants classés à l’extrême droite, et vous avez les premiers résultats. Le régime de Sanchez annonce ce jour, outre l’arrestation des trois agresseurs, celle de dizaines d’Espagnols qu’on ose accuser de violences racistes, alors que ce sont les leurs qui sont maltraités quotidiennement par les racistes migrants.
La conclusion s’impose d’elle-même. Bien que nombre de policiers, notamment en France, n’attendent qu’un ordre pour défoncer les racailles et protéger enfin la population, il n’y a rien à attendre de l’appareil d’État des pays occidentaux tant qu’ils seront dirigés par des ministre de gauche ou de fausse droite. La police, en cas d’émeutes ou de légitime révolte de la population, aura d’abord pour mission de désarmer les Européens et de protéger les envahisseurs…
… Tant qu’elle aura des chefs nommés par des traîtres élus par des imbéciles !