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Owen Legrand, une racaille blanche produite par une société gauchisée

Autrefois, il y a déjà quelques années, l’autorité représentait un mur infranchissable pour la plupart des enfants et adolescents. Quant à ceux qui décidaient de passer outre, ils représentaient une goutte d’eau dans l’océan. Certes, nul n’était exempt de bêtises, mais ces bêtises en étaient vraiment. Contrairement à aujourd’hui où l’on considère que braquer un commerçant pour une poignée d’euros, dépouiller un gamin et le passer à tabac, voire le poignarder au cours d’un match de football –  à Dammarie-les-Lys (77) dimanche dernier – c’est « une bêtise ». Aujourd’hui, l’océan a changé de couleur et c’est celle du sang versé par les victimes d’une violence exponentielle.

En effet, la violence est à présent débridée et ce, dès le plus jeune âge, comme par exemple cet enfant de huit ans qui, à Villiers-Saint-Georges (77), s’est rendu récemment à l’école avec un couteau de vingt centimètres pour se « venger » d’un camarade qui le harcelait. Non qu’il faille défendre le harcèlement, mais tout un chacun en a été victime sans pour autant tuer son harceleur.

On sait à présent qui est le tueur de Louise, un authentique psychopathe, et certains abrutis progressistes ont dû pousser des ouf ! de soulagement en apprenant qu’il était un autochtone bien blanc. Un Blanc pour combien de diversitaires assassins de jeunes filles ? Lola et Philippine en sont les malheureuses preuves, pour ne citer qu’elles. Mais au fait, Mélenchon n’avait-il pas fait de même, en 2012, en affirmant d’emblée que le massacre de l’école Ozar Hatorah de Toulouse était le fait de l’extrême droite ? Quelques années plus tard, il n’hésitera d’ailleurs pas à parler de coup monté à propos de cet attentat, sans exciter cependant la colère des médias gauchistes dans les deux cas.

Mais cet Owen Legrand – passé aux aveux dans la matinée de mercredi – n’est-il pas le produit d’une société du droit – encore que ce droit ne semble pas concerner les Français un peu trop patriotes, quant à eux harcelé par la justice et tués par la diversité – qui n’implique plus aucun devoir. Un droit qui peut être à l’occasion totalement aberrant, comme celui de décider si l’on veut être homme ou femme, les deux à la fois ou aucun des deux ! Oui, ce droit sacralisé est devenu un totem opposable à toute forme de coercition. Mais, précisément, la vie en société implique des contraintes ou alors il n’est plus de société viable possible.

Lorsque la guillotine était au bout du chemin meurtrier, cela pouvait être dissuasif. Désormais, les policiers eux-mêmes neutralisent islamique au… taser, ainsi que ce fut le cas en décembre 2023 à Paris. Plus aucune limité ne se dresse devant les pires tueurs à présent, relâchés à l’occasion parce que jugé irresponsables.

Le fameux et déplorable « jouir sans entrave » de Mai 68 a donc produit ses effets dévastateurs, et les nouvelles générations refusent à présent toute forme d’entrave, évoluant dans la société avec un sentiment de toute-puissance qui les rend extrêmement violents lorsque ce sentiment est contrarié. Aucune frustration n’est plus acceptée alors qu’on ne progresse qu’à travers ses échecs qui engendrent nécessairement des frustrations.

Cette obsession du droit, il faut bien admettre que c’est la gauche progressiste et ses déviances libertaires qui l’ont générée, exaltant ainsi l’individualisme le plus décomplexé. Désormais, les individus s’entrechoquent les uns contre les autres, ce qui a été exacerbé par les confinements stupidement imposés à toute une population. Et Anne Hidalgo peut toujours surjouer la colère lorsque la conseillère parisienne Nelly Garnier accuse la gauche, au conseil de Paris, d’avoir armé le bras de l’assassin d’Elias, il n’en reste pas moins vrai que l’hyper-tolérance gauchiste pour la délinquance, surtout si elle provient de la diversité, est meurtrière.

Et point n’est besoin d’accuser les jeux vidéo, le cinéma, ou encore certains livres, comme un idiot prétendant, sur un plateau de télévision, que Lolita de Nabokov pouvait être une incitation au passage à l’acte sur une jeune fille ! Car à l’origine de cette violence de la jeunesse, d’où qu’elle vienne, il y a surtout les parents et le déficit d’éducation. Une éducation abandonnée à l’École qui, de ce fait, en oublie d’instruire, conditionnant volontiers au passage les jeunes esprits à l’idéologie mortifère du progressisme. L’École n’a pas à enseigner la sexualité ou le vivre-ensemble : elle doit se contenter d’apprendre aux élèves à lire, écrire, compter ainsi que l’authentique histoire de France.

De l’autre côté, il y a toute une frange de la population qui refuse l’autorité autochtone, lui substituant une autorité allogène, laquelle relève presque exclusivement d’une religion, à savoir l’islam, incapable de s’harmoniser avec la société française puisque l’islam ne s’harmonise qu’avec lui-même, suivant une idéologie exclusive. Cette diversité se sert de la France et ses autochtones – qu’elle considère souvent en tant que sous-êtres – comme d’une vache à lait corvéable à merci, et ses douteuses séductions attirent nombre de petits Blancs qui la défendent avec une violence décomplexée, dont les antifas enragés.

Quel modèle ces jeunes diversitaires reçoivent-ils ?  Des parents qui agressent des enseignants, des médecins, ne supportant eux non plus aucune frustration et le faisant savoir avec une violence paroxystique. Ceci explique peut-être cela.

N’oublions pas qu’il existe aussi le goût gratuit du meurtre et de la destruction au-delà de toute origine. Car, contrairement à ce qu’affirmait Jean-Jacques Rousseau, prétendant que « l’homme est naturellement bon », l’homme recèle en lui un part de Mal. Il semble que l’assassin de la petite Louise appartienne à cette catégorie diabolique d’individus excités par la souffrance des autres.

Que faire pour remédier à cette descente aux enfers qui transforme un adolescent de quatorze ans en tueur à gages, comme à Marseille où un tel spécimen a tué un chauffeur de VTC en octobre 2024 ? Il faut impérativement rétablir un ordre implacable et sans complexe. Un ordre qui impliquerait forcément des pertes humaines parmi les ultraviolents décomplexés, étant donné le degré de déliquescence meurtrière de la société française comptant ses morts les bras ballants mais n’agissant pas autrement qu’avec des bougies et des peluches !

Autre chose : il faut rétablir le sens de l’unité nationale, cette unité qui a jadis mobilisé des millions d’hommes – et de femmes dans les usines et les champs – pour sauver la France d’un envahisseur, en 1914-1918.

Enfin, il faut en finir avec la tyrannie de la jeunesse. La jeunesse doit d’abord apprendre avant de décider. Une société qui donne la parole à sa jeunesse c’est bien, mais une société qui laisse sa jeunesse prendre le pouvoir, c’est-à-dire une catégorie de la population sans aucune expérience, n’est pas viable. L’écrivain britannique William Golding l’avait fort bien compris avec son roman Sa Majesté des mouches.

Mais que faire (bis repetita) si le pouvoir n’agit pas ? Il faut alors appliquer la préconisation de la Déclaration d’indépendance des États-Unis : « Les gouvernements sont établis parmi les hommes pour garantir ces droits, et leur juste pouvoir émane du consentement des gouvernés. Toutes les fois qu’une forme de gouvernement devient destructive de ce but, le peuple a le droit de la changer ou de l’abolir, d’établir un nouveau gouvernement, en le fondant sur les principes et en l’organisant en la forme qui lui paraîtront le plus propres à lui donner la sûreté et le bonheur. »

Dit autrement, le peuple réel à le droit de se soulever contre la tyrannie qui l’asservit, par les armes s’il le faut, et il le faudra un jour ou l’autre…

En attendant, l’assassin de Louise est un pur produit de la permissivité gauchiste qui, notons-le tout de même, se sapait comme une authentique racaille, dont il avait tous les codes, entre autres celui de tuer pour se défouler.

(Merci à notre fidèle lecteur Kabout de nous avoir fourni la photo de l’assassin de Louise)

https://ripostelaique.com/owen-legrand-une-racaille-blanche-produite-par-une-societe-gauchisee.html

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