Rappelons d’abord que les LFI, surtout en Bretagne, devraient raser les murs. Ils ont d’abord présenté aux élections départementales de 2022 le nommé Pierre-Alain Cottineau, militant associatif LGBT très actif dans la région, qui s’est avéré un chef de réseau de pédophiles criminels, abusant d’enfants handicapés de 4 ans, et parfois moins, et mettant en ligne ces actes barbares sur certains réseaux sociaux. La presse, toujours bienveillante avec lui, a systématiquement oublié, dans la narration de ce fait divers sordide, l’engagement politique de ce criminel sexuel.
Ensuite, après le pédophile, le toxico. Le député LFI Andy Kerbrat s’est fait prendre, à Paris, en train d’acheter de la drogue à un mineur, dans le métro. Alors que ce député réclamait la démission du sénateur Guerriau, mouillé dans une tentative de viol en ayant essayé de droguer la député Josso, lui, défendu par toute la gauche, s’est victimisé, s’est dit victime de la société, est resté député, sans aller siéger, et a continuer à toucher un salaire confortable, sans rien foutre, en prétendant se soigner.
Et ces Insoumis viennent de se distinguer, alors qu’ils appellent à manifester contre l’extrême droite, ses idées et ses relais, ce samedi 22 mars, en diffusant des photos d’Hanouna qui ont fait penser aux pires schémas antisémites véhiculés par les nazis dans les années 1930. Mis minable par Julien Odoul à TPMP, le complice des Insoumis, Thomas Guénolé, a quitté le plateau de rage.
Mais loin de jouer profil bas, les Insoumis multiplient les actions liberticides et violentes contre les libertés publiques, avec la complicité scandaleuse des autorités. Plusieurs événements qui viennent de se dérouler en Bretagne doivent interroger les citoyens sur ce qui est en train de se passer dans notre pays. Ils bordélisent les facultés de Nantes et de Rennes, les vandalisent, et se permettent, en toute impunité, d’agresser des jeunes étudiants qui ont le tort d’avoir des engagements qui leur déplaisent. À ce jour, malgré l’excellent travail des policiers, aucun agresseur n’a été encore arrêté, et jugé. Mais il y a encore plus grave…
À Rennes, une boite de nuit, « 1988 Live Club », la plus sûre de la ville et donc la plus fréquentée, vient d’être fermée provisoirement sur décision de son propriétaire, qui pense ainsi calmer le jeu après les événements du samedi précédent et l’ampleur médiatico-politique qu’ils ont pris. Rappelons que, suite aux manifestations féministes du samedi 8 mars, plusieurs dizaines de gauchistes et de fêtards avaient décidé d’organiser, en toute illégalité, une fête illégale, genre rave party, juste à côté de la boite.
Après avoir appelé la police, craignant que les fêtards ne mettent le feu et provoquent des incidents graves – certains jetteront des bouteilles sur la file d’attente des clients de la boite – celui qu’on appelle « Le Jarl », co-directeur de la boite avec sa femme, se verra contraint, vu la faiblesse du nombre de policiers, de repousser les agresseurs, en utilisant des méthodes efficaces pour cela, puisqu’en général, dans la vraie vie, les conflits se règlent parfois physiquement. Aucun blessé ne fut à déplorer chez les gauchistes, mais bien sûr, la mécanique médiatique se mit en place, relayée par la propagande « antifasciste » de la gauche locale, et principalement de la député Marie Mesmeur, par ailleurs compagne du dealer ex-futur maire de Villeneuve-Saint-Georges Louis Boyard.
Cette abrutie, apparemment pas finie, exulte parce qu’une boite faisant travailler des dizaines de salariés est fermée momentanément, privant des milliers de Rennais d’une soirée festive et sécurisée. Les mêmes crapules qui se réjouissent de la fermeture de C8, et se foutent totalement de laisser 400 salariés sur le carreau, même si Hanouna réussit à jouer les prolongations.
Dans un autre registre, une autre député LFI s’est particulièrement distinguée à Lannion, où devait être projeté le film de Tommy Robinson, « Silenced » déjà diffusé sans le moindre problème dans cinq autres villes par le président du Rassemblement Vendéen Éric Mauvoisin. Délatrice dans l’âme, elle a donc écrit au préfet, pour lui demander d’interdire la diffusion du film, dans les meilleures traditions liberticides des pays totalitaires. Dans le même temps, le journal « Le Télégramme » donnait l’adresse de la projection prévue, alors que, par sécurité, les organisateurs ne communiquent pas sur ce sujet, montrant par ailleurs la réalité de l’insécurité de ce genre d’initiative quand elle vient du camp patriote soumis aux agressions récurrentes et impunies des gauchistes.
Le peu courageux maire de Lannion, homme de gauche proche de la député Murielle Lepvraud, invoqua le risque de troubles à l’ordre public – alors que le droit de réunion est reconnu dans la Constitution, et qu’il appartient à l’État de le faire respecter – pour interdire la représentation, par un arrêté municipal honteux. Malgré cette interdiction, il se trouvait à 19 heures, devant la salle, dix nervis de gauche et d’extrême gauche prêts à provoquer des affrontements si la projection avait été maintenue.
Là encore, l’extrême gauche locale exulte. Ces parasites, dont voilà quelques spécimen, n’ont rien d’autre à foutre de leur vie que vouloir imposer aux Français des clandestins dont ils ne veulent pas et de faire interdire, grâce à la lâcheté des autorités, une œuvre culturelle qui leur déplaît, sur une enquête journalistique qui ne va pas dans le sens de leur idéologie.
Nous avons déjà mis en ligne ce film, mais nous jugeons utile de le mettre à nouveau à disposition de nos lecteurs, sans que cela n’empêche, pour les prochaines initiatives d’Éric Mauvoisin, les patriotes de venir le voir nombreux, et de débattre ensuite sur ce scandale d’État qui s’est déroulé en Angleterre et qui pourrait survenir en France.
Mais comme le titre Le Jarl, dans son livre qui vient de sortir, « Ça va mal finir ! ».