Il aura fallu des années de réinformation pour que commence un lent retournement d’opinion. Non, les salauds ne sont pas ceux qui frappent leurs ennemis au milieu des bâtiments civils. Les salauds sont les militaires et les miliciens qui se planquent au milieu des civils. Pour y préparer et mener leurs offensives.
Leurs dirigeants en escomptent un triple avantage, amplifié par des institutions internationales partiales ou corrompues, et des médias mainstream connivents : la dissimulation des hommes et des armes sous un camouflage idéal. L’effet de surprise pour lancer des attaques. Deux ruses de guerre encouragées par l’opprobre international en cas de riposte sévère.
Soumy et Gaza mêmes techniques d’enfumage
Le Zygomyr Zelensky, à moitié Turc dont les ancêtres ont caché leur islam pour ne pas se faire éjecter d’Ukraine au XVIIIe siècle après la Reconquête, a la même façon de penser et de se comporter que les terroristes djihadistes. L’atavisme mahométan est partout le même. On fait des saloperies en douce. Sournoisement. Et quand elles sont découvertes et entraînent une réaction violente, on se morfond en complaintes déchirantes pour jouer les victimes.
En Ukraine comme au Proche-Orient, on transforme les écoles, les hôpitaux et les lieux de culte en arsenaux. Les zones d’habitation et de commerce deviennent des casernes. Où éclosent des ateliers de fabrication ou d’assemblage d’armes. Les ambulances sont utilisées pour le transport des officiers et la dispersion des commandos.
Qui oserait tirer sur une ambulance ? Qui oserait bombarder de pacifiques « civils » qui vous tirent dessus ? Qui oserait s’en prendre à de paisibles familles qui abritent des poseurs de bombes et des artificiers de missiles ? Des salauds. Forcément des salauds. Coupables de crimes de guerre et de crimes contre l’inhumanité.
On peut compter sur les diligences de Karim Abdul Ahmed Khan et de son tribunal fantoche. Vigoureusement anti-Russes depuis que le Kremlin a liquidé le califat du Caucase. Et tout aussi vigoureusement antisémite puisque les Israéliens ne se laissent pas égorger comme les Français, sans se battre.
Mais en Ukraine comme à Gaza, ce sont des responsables locaux qui vendent la mèche, par dépit ou bravade, contredisant la propagande !
Les deux missiles russes hypersoniques Iskander M tirés sur la ville de Soumy dimanche auraient fait une cinquantaine de morts et plus d’une centaine de blessés. Même si les Ukronazis continuent à minimiser systématiquement leurs pertes, et à prétendre qu’ils ont abattu les missiles qui les ont frappés, des langues se délient.
Ainsi, des responsables locaux que le Zygomyr n’a pas encore fait interner ou zigouiller accusent Artioukh le gouverneur de région qui a été limogé depuis d’avoir organisé une soi-disant cérémonie de remise de décorations à de valeureux militaires.
Or, selon ces mêmes sources locales, abondant les déclarations des Russes, il s’agissait d’une réunion interarmes du commandement ukrainien. À laquelle participaient des mercenaires étrangers. Dont quelques pourritures de Français, de Britanniques et de Polonais. Qui ont morflé avec leurs alliés néonazis.
C’est la troisième fois depuis l’année dernière, après Kiev et Odessa, que des gradés Ukrainiens et des mercenaires européens en prennent plein la gueule. Une farandole commencée en 2023 par l’anéantissement d’une base de l’OTAN à Lviv, où 300 officiers ukrainiens, britanniques, polonais et français ont été éliminés. Déclenchant chaque fois, après les dénégations d’usage pour ne pas perdre la face, les chœurs des pleureuses de médias menteurs et la vindicte des procureurs du Nouvel Ordre Mondial.
À présent, les Russes ont appris à maîtriser la guerre des images à laquelle ils n’accordaient pas assez d’importance au début du conflit. Échaudés après les faux massacres mis en scène à Boutcha où des morts barbouillés de ketchup se relevaient après qu’on ait oublié d’éteindre les caméras. Et le prétendu charnier d’Izioum parmi d’autres mystifications, où l’on avait déterré des corps momifiés dans un cimetière pour faire croire à un massacre. Supercheries reprises in extenso par Wikimerdia, la référence en matière de désinformation.
L’UNRWA et le croissant rouge, engagés dans le terrorisme islamique, agissent de même en surjouant les victimes
Le cas de l’Office de secours des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient, en abrégé UNRWA, est tout aussi tordu. Ces bienfaiteurs de l’humanité sont censés apporter aux Arabes dont leurs pays n’ont plus voulu des prestations de santé, de logement, d’éducation et de subsistance au jour le jour.
Seulement voilà, pour leur permettre d’exercer leur sacerdoce, les farouches djihadistes de l’OLP puis du Hamas ont exigé de tout contrôler et imposé que soient embauchés des gens de chez eux. Islamistes en attente d’une opportunité, ou terroristes actifs selon les lieux et les circonstances. Avec le prétexte tout trouvé qu’il fallait des interprètes.
Ces « agents neutres » qui assuraient la logistique des terroristes et profitaient de leur immunité pour espionner les Israéliens sont vite passés à des actions plus valorisantes. Comme liquider les tièdes et les dissidents dans leur propre camp. Avant de tirer quelques missiles sur des villes ennemies, assassiner quelques soldats de Tsahal en leur tirant dans le dos, puis participer dans l’allégresse au pogrom du 7 octobre 2023.
Il aura fallu attendre plusieurs mois, parfois jusqu’à un an, et la révocation d’une douzaine d’employés-terroristes tellement fiers de leurs forfaits qu’ils s’étaient filmés en go-pro, pour que les bailleurs de fonds de cet organisation humanitaire suspendent provisoirement leurs versements. Avant de les reprendre quelques mois plus tard comme l’UE et la France. Basculant de la naïveté feinte dans l’ignominie assumée.
Sans avoir jamais cessé de critiquer Israël, malgré l’abondance de preuves mettant en cause de nombreux agents de l’URNWA. Non seulement dans l’infrastructure et la propagande du Hamas. Mais aussi dans le terrorisme et les massacres.
Le croissant rouge inspirateur de certaines manigances en Ukraine ?
Sans qu’on puisse établir formellement des liens, même si des djihadistes sont venus prêter main forte à l’Ukraine, force est de constater des similitudes troublantes dans le modus operandi.
L’organisation fondée en 1910, qui se veut la réplique de la Croix-Rouge, puisque les mahométans adorent la lune sans le dire ouvertement, a été choyée par Yasser Arafat qui y voyait l’avantage de disposer de tueurs masqués derrière des équipes de secouristes, d’infirmiers et de médecins de terrain. Leurs activités se sont vraiment développées après la guerre des six jours de 1967.
Avec une pratique répétitive. Des treillis sous les blouses blanches et des armes de guerre au milieu du matériel médical. Lorsqu’ils sont démasqués, ou prennent l’initiative d’ouvrir le feu, il y a forcément des morts et des blessés des deux côtés. Ceux de Tashal ne comptent pas. Après tout, ce sont des militaires, c’est leur boulot.
Les autres, y compris ceux victimes de règlements de comptes, on les décompte comme des victimes civiles, on les enterre en vrac dans des charniers pour les découvrir plus tard en présences des médias, et on chante le grand air de la victimisation.
Ça fonctionne à tous les coups. Comme en Ukraine où l’on découvre régulièrement des charniers près de la ligne de front, même là où les Russes ne se sont jamais déployés. Et comme à Gaza le 23 mars 2025 quand l’armée israélienne a tiré sur des terroristes planqués dans une ambulance.
Et dire que ces gens-là, les néonazis d’Ukraine et les terroristes islamistes, reprochent à leurs ennemis de ne pas respecter les lois de la guerre ! Mais la mauvaise foi, la fourberie et le fanatisme, n’est-ce pas ce qui rapproche le plus les djihadistes des néonazis ? Une alliance qui remonte à loin, à Amine Al Husseini et Hitler, qui fera du grand mufti un général des waffen SS.
Christian Navis