Dans un lycée catholique de Nantes, un élève de 16 ans poignarde quatre élèves, dont une jeune fille qui trouvera la mort. Bien sûr, dans le cerveau reptilien du gauchiste, qu’incarne jusqu’à la caricature un jeune branleur comme Manès Nadel, auto-proclamé porte-parole de la jeunesse, un nabot qui par ailleurs ne bossera jamais, le coupable ne peut être qu’un adepte d’Adolf Hitler, puisqu’une élève l’a dit à l’AFP qui a relayé l’intox, bien sûr…
Sauf que, et là c’est un peu ennuyeux pour les journaleux et les politicards de gauche, le jeune assassin a diffusé à tous les élèves, le matin même, un manifeste qu’il est bien trop con pour avoir écrit lui-même, mais qui pue à cent mètres la propagande gaucho-écolo, développant longuement 3 points : « un écocide globalisé », « une violence systémique et une aliénation sociale » et « le conditionnement social totalitaire ».
Cela n’empêche nullement les journaleux qui interrogent des jeunes élèves à la sortie de l’école de sélectionner les propos et de laisser traîner les expressions de ces jeunes formatés, comme « antisémite » ou « raciste », avec les mots « extrême droite » et « Hitler », alors que rien dans le message de l’assassin ne laisse entendre qu’il serait un adepte de ces thèses. Au contraire, il évoque le mot « écocide » qui avait été inventé par Benoit Hamon, et que reprend l’ensemble de la gauche pour culpabiliser les citoyens.
Les faits sont en effet clairs. Un jeune crétin a le cerveau lavé par la propagande quotidienne des Sandrine Rousseau et la Tondelière, relayée par toute la gauche, et subie lâchement par toute la droite. Les discours de Greta, qui annonçait la mort de la planète pour 2023, le catastrophisme de la propagande transforment nos gosses en petits commissaires politiques haineux qui nous en veulent de ne pas croire en leurs sornettes et de refuser leur modèle décroissant pour sauver la planète.
Mais le gauchiste a certes beaucoup de gueule, surtout à dix contre un, mais ce n’est pas un grand courageux. Pourtant, cela aurait eu de l’allure, un jeune garçon de 16 ans qui, comme les bonzes du Vietnam ou comme Yan Palach à Prague, s’immolaient par le feu pour défendre une cause. Mais le gauchiste dégénéré préfère vivre, et assassiner des innocents, se foutant totalement de la vie des autres, puisque selon lui, nous sommes tous des écocidaires, donc des assassins de la planète, et que, comme tout le monde va mourir, il peut tuer ses camarades, puisque, selon les prévisions de Greta, ils mourront de toute façon prochainement. Et donc, avant de passer à l’action, ce vaillant alerte ses camarades de lycée en leur envoyant un message de 13 pages, rien de moins ! Et son meurtre, et ses coups de couteau – dans son esprit exalté, il suffit de lire le texte qu’il a envoyé pour le comprendre – deviennent une action de résistance héroïque, pour la bonne cause. D’autres jeunes imbéciles de son âge s’en prennent aux tableaux dans les musées, d’autres crétins se couchent devant les voitures sur le périphérique, lui il a tué ses camarades d’école pour sauver la planète.
Alors, bien sûr, tout le monde cherche à comprendre, et Bruno Retailleau évite de tomber dans les clichés trop faciles du « fait divers », il émet un diagnostic assez juste sur la perte de repères, d’autorité, sur la déconstruction, et la société à reconstruire.
Mais pour nous il est hors de question d’innocenter les seuls responsables, les assassins écologistes et leurs complices de gauche, qui tous reprennent les sornettes culpabilisantes et totalitaires du discours décroissant, qui réclament toujours plus de mesures répressives contre les classes populaires, et sont en train de transformer toute une génération en de jeunes abrutis haineux au cerveau lavé.
Ils vont nous refaire le coup de Richard Durn, cet écolo membre de la LDH, qui, en 2002, avait tué une bonne partie du conseil municipal de Nanterre pour régler quelques comptes avec eux. Et alors, la gauche, qui attribuait au FN tout fait de société impliquant un immigré, a demandé le respect et appelé les Français à refuser les amalgames. Ben voyons !
L’enquête nous montera qui est exactement ce Justin (tiens, même prénom que Trudeau), dans quel milieu familial il évolue, qui lui a lavé le cerveau au point d’en arriver là. On saura s’il avait choisi ses cibles, ou bien tué au hasard.
Bien sûr, les gauchistes diront que c’est la preuve qu’il n’y a pas que des musulmans qui tuent à coups de couteau. Nous leur répondrons qu’il y a hélas de plus en plus de Français qui imitent les musulmans pour tuer d’autres Français, à cause de la haine d’eux-mêmes que leurs discours engendrent.
Nous remarquerons, comme le fait Christine Tasin dans ce formidable coup de gueule, la similitude de discours et de comportement totalitaires entre les écologistes et autres gauchistes et les musulmans.
Bruno Retailleau a raison de parler de déconstruction, mais a-t-il les moyens de faire comme Trump qui coupe les crédits de l’Usaid ? Il faut briser les reins des associations qui n’ont pas d’adhérents, et véhiculent un discours hostile à l’unité du pays et à la paix civile. Il faut débarrasser la France des écolos et des gauchistes, il faut éradiquer les islamistes, et seul un État fort, rompant avec les règles actuelles et la dictature des juges, avec un chef de l’envergure de Donald Trump ou de Vladimir Poutine, sera capable de cet indispensable sursaut que le ministre de l’Intérieur appelle de ses vœux, avec pour le moment des paroles sans effet concret, hélas.
Nous aurons bien sûr une pensée pour ces parents de Nantes qui, dans une ville ensauvagée par une immigration massive encouragée par la municipalité socialiste, pensaient avoir protégé leurs enfants de la barbarie trop souvent présente dans les écoles publiques, en les inscrivant, au prix de sacrifices financiers, dans une école privée catholique. Ce soir, il y a une famille qui a perdu une fille de 15 ans, et trois familles qui espèrent que leur enfant survivra aux coups de couteau du jeune salopard écolo prénommé Justin, qui, même s’il n’a que 16 ans, mérite un procès et la peine capitale, puisqu’il s’est montré capable de tuer par fanatisme écolo.
Oeil pour oeil…