Il est sidérant de voir avec quelles précautions les pouvoirs publics abordent la délinquance allogène. Les mêmes pouvoirs publics qui n’hésitaient pas, voici quelques années, à mutiler des manifestants venus crier leur légitime colère depuis leurs provinces : les Gilets jaunes. La répression de ce mouvement émut d’ailleurs le monde entier, preuve qu’elle était effroyable.
Mais concernant la diversité – qui a mis à sac notre pays lors des émeutes ethniques racistes anti-Blancs à l’été 2023 –, on se pose des questions sur les méthodes à employer, on commande des rapports – payés une fortune à des gratte-papier déjà grassement rémunérés –, on fait des tables rondes, on réhabilite des quartiers à grands coup de milliards d’euros, on offre des infrastructures sportives et culturelles dont un petit Creusois n’oserait même pas rêver, lui qui ne brûle ni ne saccage rien, etc. Et pendant ce temps, on n’agit pas et la diversité fait sa loi. Une loi criminelle qui, de ce fait, tue, de préférence les citoyens paisibles.
Dernière question en date : faut-il poursuivre et percuter les véhicules se livrant aux rodéos sauvages urbains (et ruraux !) ?
La réponse est aussi évidente que l’eau de source est limpide : oui. Et ce ne sont pas les parents des victimes de ces rodéos qui diront le contraire, pas plus que les habitants obligés de subir cette nuisance sonore épouvantable qui, telle une chanson de rap éructant, fait peur.
Et que dire du paysan qui trime comme un forçat pour se dégager au mieux un smic et voit son champ dévasté par un rodéo, voire ses bêtes effrayées pouvant alors faire un avortement traumatique. À ce propos, ils sont où les écolos soucieux du bien-être animal lorsque leurs protégés font hurler des engins motorisés à proximité d’une stabulation ou traversant des champs où paissent des troupeaux ? Occupés peut-être à revoir pour la énième fois l’éloge cinématographique nullissime de cette pratique délinquante : Rodéo, d’une certaine et obscure Lola Quivoron, dont le film a été encensé par la presse de gauche en 2022 mais moins le public. Cependant, toute honte bue, l’encyclopédie de la désinformation Wikipédia a imputé les mauvaises notes attribuées à ce film à, devinez qui, l’extrême droite. Le navet de Quivoron aurait ainsi été « visé par des raids de sympathisants d’extrême droite cherchant à faire chuter la note du film ». Tout se tient dans la dégoûtante famille gauchiste ! Ou comment ne pas assumer ses échecs :
https://www.allocine.fr/film/fichefilm-298736/box-office/
Au Royaume-Uni, les forces de l’ordre sont autorisées à prendre en chasse et percuter les véhicules qui se soustraient à leur autorité en prenant la fuite, dont les adeptes de rodéo, et c’est une très bonne chose. Peu importe que le conducteur finisse handicapé ou mort, parce que sa pratique est de fait homicide. Il serait donc temps que l’on autorise les policiers et gendarmes français à agir de même, cela leur éviterait peut-être d’être percutés comme des quilles par une boule de bowling lors de contrôles routiers, par exemple !
Rappelons qu’un pompier volontaire se trouve toujours entre la vie et la mort pour avoir tenté de mettre un terme à un rodéo urbain à Évian-les-Bains (Haute-Savoie). Pompier qui risque sa vie pour nous et méritait un minimum de respect. Et en découvrant le pédigrée de son agresseur, on se dit que si un individu pareil était percuté la société serait mieux protégée !
Aussi, la proposition du ministre de l’Intérieur de généraliser la prise en chasse des véhicules se livrant au rodéo urbain – qui n’est pour l’instant effective qu’à Paris et la Petite couronne – est frappée du bon sens mais elle n’est pas suffisante : les forces de l’ordre doivent avoir le droit – et le devoir – de percuter tout véhicule qui se soustrairait à un contrôle, point barre. Quant aux pleureuses démocratiques, elles n’auront qu’à pisser, ça tarira leurs larmes !
Selon CNews, 81 % des Français sont favorables à de telles mesures, et ceux qui s’y opposent, soit ils sont complices soit ils n’ont jamais vu ces hordes déferler sur une route ou un chemin de campagne, menaçants, violents, alcoolisés ou drogués souvent. On n’oppose pas la raison à de pareils sauvages : on n’oppose que la force, sauf à vouloir transformer notre pays en gigantesque No Man’s Land, où les pires spécimens auront droit de vie et de mort sur le reste de la population. Et ces spécimens-là n’ont pas « toujours » le profil caucasien…
Souvenons-nous aussi que ces mêmes adeptes du rodéo semblaient avoir une dispense de confinement pendant la crise Covid, car eux étaient autorisés à faire hurler leurs bécanes tandis que nous, nous étions tous surveillés et au moindre écart de conduite, verbalisés !
https://ripostelaique.com/oui-il-faut-poursuivre-et-percuter-les-vehicules-des-rodeos-urbains.html