Le site internet du magazine Frontières (https://www.frontieresmedia.fr), dirigé par l’excellent journaliste Erik Tegnér – visible régulièrement sur C News – vient de publier la première partie d’un documentaire sur l’immigration qui en révèle la face cachée. Dit autrement, il y montre et démontre tout ce que les pro-immigration veulent absolument cacher afin que le citoyen lambda ne comprenne pas ce qui se cache derrière ces mots « immigration » et « migrants », ni les enjeux. Un documentaire à voir absolument pour qui veut découvrir ce qu’il y a derrière le décor. Voici en quelques mots ce que l’on y découvre.
Exposons d’abord deux éléments absolument clés dans cette problématique. Tout d’abord, le lecteur doit savoir que l’Afrique est en train de se suicider à cause de sa démographie totalement incontrôlée. Ainsi, aujourd’hui, 40 % de la population a moins de 15 ans et en 2050, l’Afrique comptera une population qui aura augmenté de 1 milliard d’individus. Or comme dans la quasi-totalité des pays d’Afrique il n’y a aucune aide à la population, la vie y est souvent particulièrement difficile et l’espérance d’une vie meilleure y est d’autant plus forte, notamment en quittant ce continent.
Le second élément porte un nom : Ylva Johansson. Une social-démocrate Suédoise – commissaire européen aux affaires intérieures et aux migrations de 2019 à 2024 – tenante et propagandiste enragée d’une politique européenne « sans frontières » ainsi que de la promotion d’une « immigration de masse ». Parmi ses déclarations on peut citer par exemple : « Il n’est pas question que l’Europe devienne une forteresse de murs et de barbelés », « sans immigration, nous mourrons de faim ! », « l’Europe a besoin de main-d’œuvre car le continent vieillit », « la migration a toujours été là. La migration sera toujours là. La migration fait partie de l’être humain. Il n’est donc pas question d’arrêter la migration. Cela n’arrivera jamais et c’est impossible ». Bref, une gauchiste déjantée mais qui aura fait de multiples dégâts durant la période où elle était aux affaires. Ainsi, autre exemple, c’est elle qui a largement contribué à obtenir le scalp de Fabrice Leggeri (ex-directeur de Frontex, la police aux frontières de l’UE). Mais c’est aussi la député européenne qui s’est faite remarquer en tricotant durant les séances du Parlement européen.
Ces éléments étant posés, venons-en maintenant aux révélations du documentaire de Frontières.
Sachons en préalable qu’il y a trois voies principales d’arrivée des migrants en Europe. La 1re concerne les pays du Proche et du Moyen-Orient qui arrivent en Europe par la Turquie, la Grèce et les Balkans. La 2e voie se fait par la Tunisie et la Libye en arrivant à l’île de Lampedusa qui appartient à l’Italie. Enfin, une nouvelle voie connaît un développement considérable ces derniers temps, notamment parce que de nombreux pays d’Europe (Italie, Allemagne, Suède, Danemark… ainsi que les pays les plus à l’est de l’Europe) sont en train de se fermer à l’immigration du fait de tous les problèmes qu’elle génère et en conséquence les deux voies qui viennent d’être citées deviennent beaucoup plus difficiles à emprunter. Seuls deux pays européens continuent imperturbablement à favoriser l’immigration : la France et surtout l’Espagne (dirigée par les socialistes). Cette nouvelle voie d’immigration concerne principalement l’Afrique de l’Ouest (Mauritanie, Sénégal…) et voit les migrants débarquer en masse aux Canaries, territoire espagnol, avant d’être gentiment transportés en Espagne et de passer sans difficulté en France qui est souvent le pays dans lequel ils veulent venir se fixer.
Mais pourquoi cet objectif de venir en France ? Le documentaire le démontre clairement : parce qu’au Sénégal (comme dans la quasi-totalité des pays africains) il n’y a aucune aide sociale, et grâce aux réseaux sociaux très répandus en Afrique alimentés par des compatriotes en France, tout le monde sait qu’en France le pays est extrêmement généreux s’agissant des aides sociales, quant à la prise en charge des frais de santé, grâce à l’AME, tout est pris en charge. L’Eldorado… en fait, qui agit comme un aimant.
Là où le documentaire devient passionnant, c’est lorsqu’il démontre comment ce périple des migrants d’Afrique vers l’Europe peut se faire sans difficulté. Les raisons en sont nombreuses.
D’abord, il y a l’argent que l’Europe verse par milliards d’€ aux pays d’origine afin qu’ils contrôlent leurs frontières. Il se trouve que ces pays ne le font pas. Pourquoi ?… parce que partout en Afrique les dirigeants font main basse sur ces fonds et se les approprient. Il n’y a rien pour la population qui ne rêve donc que de partir, pas plus qu’il n’y a de mesures sérieuses mises en œuvre grâce à ces fonds pour les empêcher de partir. De plus, la corruption est absolument généralisée. Et bien sûr, la police théoriquement chargée d’empêcher les départs ferme les yeux dès lors qu’ils sont achetés pour regarder ailleurs. Ajoutons aussi que les passeurs gagnent beaucoup d’argent en assurant le transport des migrants. Ce qui est sidérant dans ce documentaire, c’est qu’il montre que TOUTES les nuits, à l’abri des regards, les sauveteurs partent en mer pour y chercher les embarcations des migrants et les ramènent au port puis les prennent en charge dans d’excellentes conditions. Aucune volonté ni mesure des autorités espagnoles pour freiner ou stopper ces arrivées, ce qui provoque donc un appel d’air des plus efficaces. Cela génère donc un flux incessant de centaines de personnes par jour. Et une fois ces migrants arrivés aux Canaries, ce sont les ONG qui ont des sommes folles à drainer via les subventions. En France en 2024, cela représentait plus de 1 milliard d’€ de subventions pour ces ONG. Par exemple France Terre d’Asile… dont Najat Valaud-Belkacem la petite marocaine (ex-ministre de l’Éducation nationale de Hollande) est présidente. Cette ONG France Terre d’Asile aura bénéficié de 65.341.297,24 € de subventions en 2022. Oui, 65 M d’€ ! Quant à son salaire, Najat touchait en 2022 la modeste somme de 11.400€ par mois. Depuis, cela n’a pas dû baisser. Avouez qu’à ce tarif, il y a de quoi être pour l’immigration. Non… ? On peut aussi mentionner les juristes qui s’en mettent également plein les poches, surtout depuis que Laurent Fabius (président socialiste du Conseil constitutionnel à l’époque) a décidé que les frais de justice des migrants seraient pris en charge par l’État, c’est à dire avec les impôts des Français. En moyenne, avec toutes les procédures un avocat gagne environ 5000 €… par migrant. Elle est pas belle la vie ?
On voit donc que d’un bout à l’autre de la chaîne, tous les maillons gagnent des sommes considérables grâce à l’immigration. Officiellement, les pro-migrants le sont pour de grands sentiments (« la France est une terre d’asile », « on ne peut rester insensible à la misère »…), mais dès qu’on s’intéresse un peu au sujet, on voit bien que c’est pour de minables questions d’argent qu’ils s’investissent dans ces actions en faveur des immigrés. Les seuls à être les dindons de la farce sont donc les peuples des pays européens. Eux sont même obligés de payer pour ces politiques immigrationnistes sur lesquelles ils n’ont pas leur mot à dire. En effet la quasi-totalité des dirigeants au pouvoir soutenant ces politiques pro-migrants refusent de soumettre leur politique à des consultations de la population alors qu’ils savent parfaitement qu’ils sont ultra-minoritaires. Mais ces gens se pensent une élite qui sait ce qu’il faut pour le pays alors que la populace est bien trop bête pour le savoir. En aucun cas il ne faut donner les moyens à ces bas fronts et incultes d’exprimer leur opinion. C’est pourquoi en France tout et n’importe quoi est inventé, y compris sur le plan juridique, pour justifier qu’aucun référendum ne sera organisé sur le thème de l’immigration. Exactement comme à Callac en 2022, lorsque le maire interpellé sur le marché par des habitants en colère qui réclamaient un référendum sur sa décision de faire venir plus de 500 Africains dans son village de 2200 habitants ont entendu le maire répondre : « Je ne ferai pas de référendum car je sais que 80 % de la population est contre ». Aujourd’hui, la France dans son ensemble est dans la même situation. Il y a selon de nombreux sondages 80 % de la population qui veut stopper cette immigration totalement incontrôlée, mais en l’état actuel des choses il n’y aura aucun référendum sur le sujet. Les élites refusent de l’organiser. De ce fait, le peuple n’a qu’à payer cette politique sans protester et surtout subir en silence et sans réagir toutes les conséquences de cette immigration, notamment toutes les violences (coups de couteau, égorgements, viols, vols et délinquance en tous genres…). Quant à ceux qui osent dénoncer tout cela, les ONG gavées de subventions veillent et traînent devant les tribunaux ceux qui parlent ou écrivent trop ou trop clairement. Les Lois liberticides (Lois Pléven, Gayssot et Taubira) sont largement utilisées pour obtenir le silence dans les rangs par un véritable terrorisme judiciaire conforté par la complicité de nombreux juges du syndicat de la magistrature, syndicat officiellement pro-migrants. Sur ce plan rappelons-nous le temps qu’il a fallu pour que soit enfin reconnu le lien entre immigration et délinquance. Combien de lanceurs d’alertes condamnés avant que ce lien ne soit reconnu ?
Au final, chacun est en droit de se poser une question : comment sortir de ce guêpier ?
Les moyens sont connus et des plus simples, notamment :
- Organisation d’un référendum sur l’immigration pour que le peuple et la France en reprennent le contrôle
- Abrogation des Lois liberticides (Pléven, Gayssot et Taubira)
- Suppression de toutes les subventions aux associations pro-migrants
- Criminalisation, pour trafic d’êtres humains, des complices des passeurs
- Rétablissement du délit de séjour irrégulier (supprimé par Hollande en 2012)
- Expulsion de tous les clandestins et OQTF vers leurs pays ou un pays relais
- Suppression du regroupement familial
- Déchéance de nationalité des bi-nationaux délinquants et expulsion
- Rétablissement de toutes les frontières, y compris intra-européennes
- Sortir du système de Schengen
Reste un sujet : qui osera prendre ces mesures et les mettre en œuvre ?
Bernard GERMAIN