
La problématique actuelle de cet Antarctique qui a gagné de la glace ces dernières années, fait tache dans le narratif du réchauffement climatique de la planète, causé par l’homme évidemment. Et donc une étude parue dernièrement dans la revue Science China – Earth Sciences, distingue deux types de glace, celle de mer qui recule d’année en année et celle d’eau douce formant la calotte glaciaire et qui, elle, augmente. Et l’étude d’expliquer que ce rebond de la glace d’eau douce observé par satellite n’est que temporaire et qu’il s’explique justement par le changement climatique. L’atmosphère réchauffée retient davantage d’humidité, engendre donc de fortes chutes de neige, qui provoquent un gain de glace. Mais ça ne va pas durer, que l’on se rassure. En résumé, si la masse de glace augmente au pôle sud, c’est parce qu’il y fait plus chaud. L’étude en question vient donc araser un pic contradictoire au discours ambiant et tombe à point nommé, comme souvent des études, qui viennent étayer une volonté politique.
La problématique est de savoir qui paye les études et s’il n’est pas forcément question de remettre en cause le réchauffement climatique, on peut discuter sur ses causes, étant donné que des réchauffements et des refroidissements climatiques d’ampleur bien plus importante ont eu lieu avant l’apparition de l’homme. On a eu l’exemple de la période Covid où quand il a fallu trouver une « étude » pour invalider l’hydroxychloroquine utilisée sans dommage depuis des décennies, elle a été fabriquée de toutes pièces, on le sait maintenant. On a aussi l’exemple d’études qui montrent que 30 élèves par classe, c’est de la saine émulation, quand il s’agit de réduire le nombre de professeurs, pour des raisons d’économies, sinon, bien sûr on travaille mieux en petits groupes, mais uniquement dans les quartiers sensibles où les classes sont dédoublées. Des études qui indiquent que la mise en place de ZFE est indispensable et d’autres études qui montrent que leur efficacité n’est pas évidente et ainsi de suite. Plus largement se pose la question de qui subventionne l’étude et dans quel but. En ce qui concerne le réchauffement du climat, on une autre étude qui montrait que l’océan Atlantique avait plutôt tendance à se refroidir.
En réalité, tout repose sur des parutions dans des canaux majeurs qui mettent en exergue, parce qu’ils sont propriétés d’actionnaires, les sujets qui arrangent les actionnaires en question et qu’en dehors de ces canaux de diffusion parfaitement tenus, des voix scientifiques contradictoires ont peine à se faire entendre, on l’a bien cerné pendant la période Covid, où les médecins regardant ont été ridiculisés publiquement et même purement et simplement radiés. Le même principe qu’avec la presse subventionnée qui relaie largement et sur ordre, les problématiques que les gouvernants souhaitent voir occuper le devant de la scène. Le problème est qu’une majorité de gens, malgré le temps qui finalement donne tort aux annonceurs de catastrophes, prennent pour argent comptant ce que la télé leur raconte. Cette même télé qui en remet une couche en se dotant d’un organe, pompeusement de fact-checking, en réalité fabricant de fake-news destiné à combattre par l’apparence sérieuse, des vérités qui la dérangent. Une bonne raison pour privatiser l’information, vœux du RPF, cesser les subventions, créer une pluralité, un choix possible pour le public et baser le succès d’une chaîne d’information sur sa qualité, sa pertinence et non plus sur le soutien financier qu’elle reçoit de l’État, donc nos impôts.