
Gérald Darmanin propose de supprimer l’argent liquide pour lutter contre le narco-trafic. Mais également, plus de valises de billets pour corrompre les politiciens et ça c’est autrement plus regrettable que ce fléau de la drogue que l’on raconte combattre, mais qu’en réalité on encourage et pour cause, ça s’en consomme jusque dans les rangs de l’assemblée nationale et peut être même, bien plus haut, dans les Ministères et encore plus haut, suivez mon regard. C’est un secret de Polichinelle. Mais les trafiquants de drogue, comme d’ailleurs les politiciens corrompus, ne seront pas gênés le moins du monde par la suppression de l’argent liquide. Cryptomonnaies, transferts anonymes, argent suisse… la délinquance privée, comme publique, a déjà anticipé cette fin de l’argent liquide.
La vraie raison de la sortie de Darmanin est ailleurs, sur fond d’édifice en train de se fissurer du mondialisme heureux auquel plus personne ne croit. En premier lieu, il y a une vraie lame de fond européenne, emmenée par les Orban, Meloni et quelques autres. Mais aussi, la prise de conscience des peuples, qui dans leur immense majorité ont compris où nous mène cette Europe des normes, des privations, de la guerre et de la triche. Déjà, l’ordre au pouvoir en est réduit à truquer, éliminer, intimider, à tel point que cela est même fait ouvertement tellement il y a urgence. Les cotes de popularité de ces mondialistes sont en berne, à commencer par celle de Macron. Il n’y a plus que les moutons décérébrés qui lui font confiance, ceux qui ont tout gobé, depuis les quatre doses de « vaccins », jusqu’aux « déséquilibrés » qui égorgent, en passant par le saint combattant Zélensky, acheteur de villas à l’étranger.
L’ultime solution pour eux, pour s’en sortir : imposer rapidement l’Euro numérique, spolier les opposants, avoir la possibilité de leur enlever même le pain de la bouche, les déplacements, la communication, de les tuer sur place en résumé, sans avoir besoin de les tuer au sens réel du terme. Sinon tout va craquer. Du complotisme ? Certainement pas. L’arme du crédit est déjà en place, mais pas suffisamment pour juguler les oppositions. Les banques ont ordre de ne pas prêter au Rassemblement National, que l’on peut tranquillement taxer ensuite de « collaborateur » puisqu’il est obligé d’aller emprunter en Russie. On ne prête pas non plus d’argent à Jean Messiha et sans doute à tout un tas d’opposants, suffisamment populaires pour en devenir gênants. Et les banques ont le petit doigt sur la couture du pantalon. Il ne faut pas se faire trop d’illusion sur leur loyauté aux peuples, leurs clients. Et elles auraient tout à gagner d’une suppression de l’argent liquide, elles prendront leur part sur chaque transaction informatique. On peut même dire qu’une dictature numérique généralisée, avec un crédit social et des euros numériques fléchés pour certaines dépenses obligatoires, serait pour elles une excellente affaire. Historiquement, elles ont toujours suivi les pires dictateurs.
Les mêmes moutons décérébrés vont arguer, au comble de leur désir de faire « gens bien » : « je suis un honnête homme, je n’ai rien à cacher, la suppression de l’argent liquide ne me dérange pas ». Ceux là, on pourra finir par mettre une caméra de surveillance dans leur salle de bain, en leur expliquant que c’est pour les secourir plus vite, au cas où ils tomberaient dans leur baignoire. Ils trouveront que c’est une excellente idée. Darmanin, l’ex-pseudo-LR, tente un ballon d’essai pour ses commanditaires, couvert par Lagarde et Macron, l’homme des banques, dans la même veine que lui et propose cette suppression, avec, comme à chaque fois, un argument fallacieux déguisé en bonne intention. Histoire de voir l’effet produit. La caste aux abois tente là une ultime prise de pouvoir pour installer la dictature soviétique 2.0 et sauver sa peau. On contrôle les transactions, l’argent des grands parents à leurs petits enfants, les petits services rémunérés entre voisins, la solidarité intergénérationnelle, on euthanasie et par là même, on impose la forme de vie, la consommation, la longévité, en résumé, on s’empare définitivement de la vie des gens et même de leurs esprits.