Lors de son retour à Paris, après la mascarade de la flottille de Gaza, une passagère, Alexandra Sojfer, racontait comme les choses s’étaient passées dans l’avion, et notamment les intimidations subies par les passagers par quatre amis arabes de Rima Hassan. Elle évoquait également le comité d’accueil pro-palestinien et les doigts d’honneur de certains journalistes à l’encontre de son drapeau israélien.
Immédiatement, l’adresse de sa boutique parisienne circulait sur tous les réseaux sociaux, ainsi que son identité. Ne se laissant pas intimider, cette femme persistait en affirmant qu’elle n’aurait jamais la moindre compassion pour les Palestiniens, que cela soit les hommes, les femmes ou les enfants.
Des menaces se sont multipliées contre la vitrine d’Alexandra, qui a dû prendre des précautions supplémentaires pour éviter les mauvaises surprises. Quelques jours plus tard, un autre incident impliquant Rima Hassan se déroulait également dans Paris.
La suite est révélatrice des méthodes totalitaires de la gauche pour intimider quiconque a le courage d’afficher publiquement son hostilité à l’encontre de son discours.
Il y a quelques jours, la député européenne LFI, qui vote contre la libération de Boualem Sansal à Bruxelles, se promenait dans les rues de Paris, apparemment sans la moindre sécurité, ce qui confirme que les menaces de mort dont elle se prétend victime sont probablement bidon.
On sait que ni Éric Zemmour, ni Marine Le Pen, ni Marion Maréchal ne peuvent se permettre ce luxe, à cause des amis de Rima Hassan. Elle n’a pas été agressée physiquement, juste vivement interpellée à cause de ses positions, par deux salariés d’Orpi, probablement juifs. Le premier, un peu énervé, lui a dit qu’on allait lui cramer sa Palestine, et la femme a crié en hébreu « Vive Israël ».
De nombreux militants patriotes ont connu des agressions bien plus graves, qui parfois se terminent à l’hôpital. Mais Rima Hassan, soutenue par toute la meute de gauche, sait se victimiser, et a immédiatement interpellé la direction d’Orpi pour savoir s’ils cautionnaient les propos de leurs salariés, qui étaient, faut-il le rappeler, dans la rue. Elle a également donné l’adresse précise de la boutique.
Croyant acheter la paix avec les islamo-gauchistes, le lâche président d’Orpi, Guillaume Martinaud, en bon dhimmi qu’il est, a tenu à faire savoir que les deux salariés étaient licenciés.
Il n’est pas certain du tout que, devant un tribunal, les prétextes du licenciement mis en avant par la direction sous la pression des Insoumis tiennent la route. Ce lâchage des deux salariés par la direction n’a absolument servi à rien. Dans un premier temps, la boutique parisienne a été taguée par des pro-palestiniens.
Et dans un deuxième temps, une boutique Orpi de Marseille était brûlée à son tour.
Donc, deux salariés licenciés, une boutique taguée et une autre incendiée, le message de la gauche pro-palestinienne est clair : quiconque osera refuser la fable du génocide palestinien, et l’affirmer publiquement, en paiera la prix.
Raison de plus pour ne pas se laisser intimider et continuer.
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