Une célèbre citation, attribuée à Jacques Godfrain, disait que « les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent ». La gauche ose se dire du côté du peuple, parce qu’elle affirme défendre la retraite à 60 ans, les services publics, la redistribution et le modèle social français.
Mais elle défend surtout le surendettement de la France, puisque c’est sa politique sociale, suivie par Macron et une partie de la droite, qui a créé le déficit record sous les deux mandats du « Mozart de la Finance ».
C’est la gauche dans son ensemble qui a torpillé la filière nucléaire, avec la complicité de certains collabos de droite, vendus à l’Allemagne qui a œuvré en coulisse pour détruire ce joyau de l’indépendance énergétique française. Dominique Voynet, toujours députée de gauche, s’est même vantée de ce sabotage qu’elle a mis en place dans un Conseil des ministres européens.
C’est à cause d’eux si les classes populaires ont vu, depuis quinze ans, leur facture d’électricité multipliée par deux. C’est à cause d’eux si des dizaines de milliers d’entreprises ont dû fermer, incapables de payer des notes d’électricité qui ont explosé. Et comme cela ne leur suffit pas, ils veulent multiplier par deux le nombre d’éoliennes, et par quatre le nombre de panneaux solaires, ce qui fera encore doubler la facture d’électricité des Français et multipliera encore le nombre de faillites d’entreprises, donc de travailleurs jetés au chômage.
C’est encore à cause d’eux si les petites et moyennes entreprises n’ont plus les moyens d’embaucher du personnel, criblées de charges qu’elles sont, comme l’a montré la colère des coiffeurs, fort bien comprise par Sarah Knafo.
C’est donc à cause de la gauche si le chômage de masse augmente et que les salariés du privé ne sont plus embauchés comme il serait possible de le faire, non seulement à cause des taxes des employeurs, mais aussi à cause de la concurrence des salariés immigrés qui travaillent (ne parlons pas du coût de ceux qui ne travaillent pas, et que les Français paient).
Et bien sûr, ce sont d’abord les classes populaires qui paient au prix fort le prix de l’insécurité, due à l’immigration, voulue et imposée par la gauche aux Français. On peut à présent écrire cela, puisque même la 17e chambre a relaxé Éric Zemmour, qui avait osé faire le lien entre les deux.
C’est à cause de la gauche si les Français des classes populaires tremblent pour leurs enfants, quand ils sont dehors ou qu’ils sortent, craignant qu’ils ne subissent le sort de Thomas, Philippine et de tant d’autres. Et parfois, quand on écoute le bouleversant témoignage d’une mère, Christine, qui a perdu sa fille, tuée de 11 coups de couteau par un Algérien en situation irrégulière, on sait hélas que trop de Français ont été confrontés à cette situation, et que, sauf changement radical de politique, cela ne s’améliorera pas.
Cette gauche préfère les étrangers aux Français, les assistés aux travailleurs, les racailles aux policiers, les violeurs étrangers aux violées françaises.
La gauche est la principale responsable de l’ensauvagement du pays, voulu par les dirigeants mondialistes pour briser la France et toutes les nations, et remplacer notre peuple. Nous ne devrons jamais oublier ces paroles de Tatiana Festerling, responsable de Pegida Allemagne, lors des dix ans de Riposte Laïque.
Les politiciens ont créé une caste pour eux-mêmes : la caste élitiste et narcissique des Protégés. Avec des voitures blindées, une protection personnalisée et un personnel pléthorique qui s’occupe de la sécurité et prête attention aux détails.
Ce sont là des symboles du pouvoir. Symboles de délimitation et de distance. Symbole du mépris. Oui, l’Europe occidentale a un système de castes.
La caste des sans-protection va diligemment au travail et, en chemin, dans les stations de métro, elle est poussée dans les escaliers, massacrée ou jetée sous les trains.
Les personnes sans protection font la queue aux supermarchés et se font poignarder. Les filles des sans-protection sont harcelées, tripotées et violées.
Les fils des non-protégés sont rackettés, battus et humiliés.
Les non-protégés se baladent sur des zones piétonnes d’Europe avec leurs familles et sont fauchés par des terroristes au volant de véhicules et de camions.
Nous autres, militants et dissidents, nous appartenons aussi à la caste des sans-protection. En Allemagne, une sentence contre une critique de l’islam vient de tomber : 6 mois de prison avec sursis pour avoir osé comparer l’islam au national-socialisme. (http://www.pi-news.net/das-skandal-urteilvon-muenchen-ist-ein-rechtsbruch/)
J’appelle cela « Guerre ». C’est une guerre contre ses propres compatriotes. C’est une guerre profondément raciste. Contre les Français, contre les Allemands, contre les Européens. Et quand on voit que les Américains et les Australiens luttent aussi contre des gauchistes, c’est aussi une guerre contre l’homme blanc.
https://ripostelaique.com/tatjana-festerling-francais-europeens-avez-vous-encore-envie-de-vivre.html