Moscovici a été ministre de l’économie et des finances, un temps ministériel, souvenez-vous où il s’occupait de la chatte de Charlène sa jeune compagne de 25 ans d’âge. Je parle bien de l’animal évidemment, d’ailleurs c’était peut-être un chat, mais je n’aurais pas eu le même niveau d’attention dans une rubrique économique sans avoir recours à ce subterfuge sémantique. Bref, la dette il n’en avait pas grand-chose à faire à l’époque.
Comme tout bon socialiste au logiciel de fonctionnement socialiste, Moscovici ne peut donc pas envisager autre chose qu’une hausse des impôts toujours basée la « justice socialeuuuu » (à dire en bêlant).
« Ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage » nous dit-il…
Sauf que mon cher Mosco, c’est déjà largement le cas dans un pays où 1 ménage sur 2 ne paye aucun impôt sur le revenu, où il y a un IFI sur les méchants trop « propiétaires » de logements, mais aussi un impôt sur le revenu progressif et même une surtaxe pour les « trop riches » sur ce même impôt sur les revenus. Les plus riches d’ailleurs quand ils gagnent des sous sur leurs sous économisés payent à nouveau des CSG et autres CRDS… enfin quand le riche meurt il contribue également davantage même au moment du trépas et de la tombe… pour que ce qui tombe de la tombe tombe dans l’escarcelle de l’Etat et de types comme Moscovici dont le seul mérite aura été de vivre toute une vie aux frais de la dépense publique.
Remarquable.
Maintenant c’est Moscovici qui préside la Cour des Comptes.
Et Moscovici de nous expliquer à partir de l’exemple grec que c’est une bonne nouvelle car on « peut réussir »… sans passer par la sévère cure imposée à la Grèce.
C’est à la fois vrai et faux.
C’est vrai car, si nous le faisons maintenant cela sera nettement moins douloureux que d’attendre les mesures suite à une mise sous tutelle de la France par le FMI, la BCE et l’Union Européenne.
C’est faux, parce que si économiquement cela serait moins douloureux, socialement et politiquement ce sera impossible dans une France gauchisée de manière absurde, qui refuse tout effort et responsabilité individuelle et dans un pays ou une présidente de région distribue des bouteilles d’eau gratuite dans les gares quand il fait chaud à des gens qui auraient pu se payer cette bouteille ou remplir une gourde.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
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