
Ces associations vont «pouvoir signaler» les contenus haineux de façon «à ce qu’ils soient retirés de manière beaucoup plus rapide». Cela concerne les discours à caractère antisémite, raciste, anti-musulmans, homophobe, misogynes… Désormais, les associations seront «en lien direct avec l’Arcom, l’autorité de régulation, de manière à ce qu’elles soient prioritaires».
Cette coalition comprend Le Crif, la Fédération des centres LGBTI+, Flag!, la Licra, M’endors pas, le Mouvement du Nid, Osez le féminisme, le Planning familial, Respect Zone, Sos Homophobie, SOS Racisme et Addam, a précisé à l’AFP l’entourage de la ministre. Ces associations sont «déjà aidées financièrement, mais elles vont l’être encore plus pour qu’elles puissent recruter des gens qui vont être dédiés à la lutte contre la haine en ligne», affirme Aurore Bergé.