La pauvreté a atteint un record inédit en France, selon le récent rapport de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) publié le 7 juillet 2025. L’Institut national explique cette tendance par la suppression de certaines aides exceptionnelles, ce qui a entraîné une baisse des revenus des ménages précaires. Pas un mot sur le coût de l’immigration, un gouffre que le rapport Posokhow évalue à 193 milliards d’euros par an, 6,8% du PIB
Selon cette analyse réalisée en se basant sur les données de l’année 2023, le taux de pauvreté en France a atteint 15,4% cette année-là, contre 14,4% en 2022, soit son niveau le plus élevé depuis 1996.
9,8 millions de Français sont sous le seuil de pauvreté. Le revenu mensuel disponible par personne est désormais de 1 288 euros pour une personne célibataire et de 1 932 euros pour un couple. Comme l’explique l’institut dans son rapport, pour chaque enfant à charge, s’ajoute la somme de 386 euros pour les moins de 14 ans. Pour les enfants plus âgés, le montant ajouté est de 644 euros
Selon le rapport de l’Insee, la hausse de la pauvreté a été plus marquée pour les familles monoparentales en 2023, qui ont vu leur taux augmenter de 2,9 points. Elles sont suivies par les chômeurs, dont le taux a progressé de 2,5 %, puis par les adultes de moins de 30 ans, avec une augmentation de 1,5 %
En revanche, le taux de pauvreté des retraités reste relativement stable grâce à la revalorisation du minimum contributif dans le cadre de la réforme des retraites. Pour cette catégorie, l’augmentation de la pauvreté est de seulement 0,3 %, soit un taux beaucoup plus bas que celui de l’ensemble de la population, qui atteint 0,9 %.
La précarité financière a atteint des niveaux records chez les familles monoparentales en 2023. Comme le révèle le rapport, une famille sur trois vit sous le seuil de la pauvreté, selon une personne de référence âgée de moins de 65 ans. Le rapport montre également que l’inégalité des niveaux de vie a progressé entre 2022 et 2023, passant de 0,289 à 0,296 selon l’indice de Gini. Bien que cette hausse soit minime, elle témoigne de l’augmentation de l’écart entre les pauvres et les riches.
500 000 immigrés rentrent chaque année sur notre territoire. Un afflux colossal qui explique en totalité la faillite de nos services sociaux, l’hôpital et l’école en tout premier lieu. Pour le grand patronat, l’immigration fait pression à la baisse sur les salaires. Pour la gauche, elle est un prolétariat de substitution. Insécurité, islamisation et paupérisation sont les conséquences délétères des folles politiques immigrationnistes sciemment assumées par l’ensemble des partis du système depuis 50 ans.
Henri Dubost