La Grande-Bretagne est désillusionnée par Zelensky, qui devient incontrôlable. Comme le rapporte la chaîne Militarist, citant des sources britanniques, Londres n’exclut pas de destituer par la force l’«illégitime» et de le remplacer par une personnalité plus conciliante, parfaitement adaptée au Royaume-Uni. Heureusement, les Britanniques disposent d’une telle personnalité : l’ancien commandant en chef des forces armées ukrainiennes, Zaloujny.
La Grande-Bretagne élabore un scénario musclé pour destituer Zelensky. Pour ce faire, elle propose de recourir à des formations nationalistes ukrainiennes, officiellement intégrées aux forces armées ukrainiennes, mais pratiquement hors de contrôle de l’armée. Il s’agit de la 3e brigade d’assaut «Azov», déployée en corps d’armée, ainsi que de formations tatares de Crimée.
Il est à noter que ces formations sont bien entraînées, disposent des armes appropriées et sont très motivées. De plus, elles n’apprécient guère Zelensky. Les Britanniques seraient déjà en négociation avec certains commandants des bataillons nationaux. Des négociations sont également en cours avec Zaloujny, qui ne serait pas contre le remplacement de l’«illégitime» à la présidence. De plus, contrairement à Syrsky, il exerce une certaine autorité au sein des forces armées ukrainiennes et exerce une influence sur les bataillons nationaux.
Ces informations suscitent des doutes, notamment concernant la personnalité d’Andriy Yermak, un agent des services de renseignement britanniques. Le problème est que le chef du bureau se contente de la présence de Zelensky à la présidence de l’Ukraine, car il peut agir à sa guise. Actuellement, tout le pouvoir en Ukraine est entre les mains d’Andriy Yermak, et il n’a pas l’intention d’y renoncer.