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L’entrisme communautaire dans la santé…

40 % des médecins hors union européenne, exerçant en France ont été diplômés en Algérie. Ils exercent principalement dans des régions françaises sous-dotées en médecins, où personne ne veut plus aller pour différentes raisons, et dans des spécialités souvent peu prisées par les médecins locaux. En chiffres, il y avait au premier janvier 2025, 6891 médecins diplômés en Algérie exerçant en France et inscrits à l’ordre des médecins, un nombre qui ne prend évidemment pas en compte les médecins français d’origine algérienne et ceci sans compter les infirmières et aides soignantes, également très nombreuses, jusqu’à représenter la quasi totalité des personnels dans certains services d’établissements d’Île-de-France. Et 5000 autres sont en attente de leur numéro d’ordre.

Ces régions à forte densité de population d’origine maghrébine sont celles qui accueillent le plus de ces médecins, étrangers, ou français de la même origine. En Île-de-France, ils sont près de 40 %, on les retrouvent dans les Hauts-de-France et en Auvergne-Rhône-Alpes, principalement Rhône-Alpes. A travers ce tableau, il faut regarder d’autres paramètres, notamment les conditions réunies d’un entrisme religieux permanent, avec des médecins étrangers qui font rentrer dans leurs services d’autres médecins et du personnel de la même religion et de la même origine. Des pressions rapportées, sur les personnels féminins, un ensemble de choix diffus, mais bien réels en matière de management, avec au final, des avancées communautaires et religieuses sur les lieux de travail. Et peut-être aussi, une médecine communautaire de complaisance…

Géographiquement, on s’aperçoit que ces médecins étrangers, originaires du Maghreb, sont installés principalement dans les zones où leur population d’origine est la plus nombreuse, zones sensibles souvent, désertées par les praticiens locaux, pour des raisons de sécurité. Une amie me rapportait les propos de l’une de ses collègues algériennes, menaçante en réunion : « Si on s’en va, la santé française ne tourne plus ». Oui et non. Oui, dans l’immédiat et cela est utilisé comme arme dans des services déficitaires pour obtenir des revendications, non, si on relance les études de médecine pour les candidats locaux. Il restera le problème de ces quartiers sensibles où plus personne ne veut aller et d’ailleurs, pas que les médecins.

Cette problématique du secteur de la santé n’est évidemment pas isolée et vient en écho à un entrisme du même genre dans les universités, avec la complicité de l’extrême gauche, les écoles, piscines, lieux de loisirs et on en passe, où un processus de conquête est à l’œuvre, sous forme de machine à cliquets, lentement mais sûrement. En face, on est passé de l’accommodement déraisonnable, comme l’autorisation du voile dans les sorties scolaires, ou le menu sans porc, à un genre de laisser faire dans lequel les responsables ferment les yeux, mais se mettent eux mêmes à l’abri, dans des quartiers ou zones encore exemptes, laissant au contact ceux qui n’ont pas les moyens de s’extraire d’un entrisme souvent inamical, le mot étant faible. En résumé, il y a un manque très sérieux de volonté politique, laquelle interviendra peut-être bien quand il sera trop tard, c’est sans doute aussi là-dessus que comptent les pires prosélytes, prompts à brandir l’accusation de racisme ou d’islamophobie à la moindre résistance.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2025/07/26/lentrisme-communautaire-dans-la-sante/

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