Combien regardent ailleurs, pendant que le totalitarisme avance, de moins en moins masqué ?
C’est la facilité même : ne rien faire, surtout ne rien tenter, ne pas bouger, continuer à faire ses petites affaires sans se soucier de ce que vivent certains citoyens français, parfaitement innocents, qui n’ont d’autres crimes à se reprocher que celui d’être nés dans un grand pays (du moins autrefois !), dont les citoyens, au fil du temps, ne se sont pas (ou très rarement !) lâchement carapatés vers un pays plus sûr, dès qu’un orage s’annonçait sur notre nation, mais sont restés, pour se battre et libérer ainsi les plus faibles d’une occupation étrangère !
Aujourd’hui, c’est exactement l’inverse, car ceux qui réclament à grands cris l’accueil inconditionnel de sauvages envahisseurs sans éducation, aux antipodes de nos codes de « savoir-vivre », et malgré les preuves incessantes de leurs crimes et forfaits, ne trouvent sans doute rien à redire que des millions d’hommes jeunes aient quitté leurs pays prétendus en guerre… pour venir se réfugier en Occident, exigeant férocement ce qu’ils n’ont jamais pu obtenir chez eux, et abandonnant sans état d’âme femmes et enfants, leur principal « talent » étant justement la reproduction de l’espèce… la leur étant indéniablement la pire !
Sans doute une grande tranche de la société française (les natifs comme ceux de cœur, à l’exclusion des Français « de papiers » !) commence à rejoindre les inquiets qui, depuis des lustres, agitent les signaux d’alarme sur les continuelles dérives des véritables ennemis intérieurs qui ont usurpé le pouvoir… mais pas encore suffisamment touchée dans sa propre chair ou ses finances pour certains (viols, égorgements, chômage, dépression, misère et raréfaction des hôpitaux de proximité…) pour réagir avec efficacité.
Car si dans les affirmations des uns et des autres, notamment chez les prétendus gauchistes ou assimilés, il n’est question que de fraternité, égalité, justice, réparation de prétendues fautes anciennes… toutes ne sont qu’esbroufes, effets de manches et baratins bien huilés, pour se prétendre « plus humains » que les autres… quand, dans cette fange (dangereuse) de la société se trouvent les pires égoïstes au monde !
Combien, chez tous ces donneurs de leçons sur le prétendu racisme et égoïsme des Français de souche, nous interpellant sur la nécessité de nous serrez pour accueillir à domicile les hordes d’envahisseurs, pour qui ils ont plus de bienveillance, attention et respect, que pour leurs propres concitoyens… Combien parmi eux, vivant dans le luxe et l’abondance, se sont empressés d’accueillir tous ceux que leurs habitations le permettent ???
Chiffre inconnu, ce qui signifie qu’il avoisine sans aucun doute le zéro absolu, les conseilleurs n’étant jamais les payeurs, c’est bien connu ; et à l’inverse si cela était, cela se saurait, avec moultes vidéos et images témoignant de leur grand cœur !
Leur saloperie n’ayant aucune limite, ils osent aujourd’hui déclarer à mots couverts (dont certains ont déjà fuité) que le citoyen lambda va devoir, de gré ou de force (c’est la menace sous-jacente) se pousser encore pour loger de pauvres « migrants » (majoritairement assassins, souvent récidivistes, mais débaptisés pour l’occasion, afin de mieux faire pleurer dans les chaumières !).
Et si les incantations pressantes ne sont pas encore suffisantes, ils passeront à la phase suivante, basée sur leurs fameuses statistiques, prouvant que nos maisons sont bien trop grandes pour nous seuls…
Ils avancent masqués. Toujours. Hier encore, les gauchistes nous juraient qu’on pouvait « être propriétaire sans culpabiliser ». Aujourd’hui, les mêmes, par la voix d’experts dociles de l’Insee, insinuent que vos maisons seraient… trop grandes. Trop vides. Trop « sous-occupées », disent-ils, comme s’il s’agissait de parkings publics. Demain ? Ils viendront frapper à votre porte, avec leur carnet de rationnement foncier, leur mètre ruban et leur idéologie en bandoulière.
Ce 8 juillet 2025, l’Insee a publié une étude qui aurait pu sortir d’un bureau de planification soviétique : un quart des ménages vivraient dans un logement « beaucoup trop grand ». Comprenez : vous, parents, qui avez une chambre d’amis ou un bureau ; vous, grands-parents qui gardez une chambre pour vos petits-enfants ; vous, célibataires installés dans la maison familiale. Vous êtes les futurs coupables.
Comprenez également que les leurs, d’habitations, ont bien évidemment été exemptées de ce comptage, et qu’ils s’y entendront, en cas de besoin, pour trouver de quoi noyer le poisson, si d’aventure quelqu’un osait leur poser la question… les médias subventionnés (avec vos impôts, donc aux ordres du pouvoir !), veillant scrupuleusement à ce que cela ne se produise pas !
Peu importe que vous ayez trimé durement toute une vie pour acquérir votre maison ou appartement, pendant qu’eux, via des salaires sans aucune commune mesure avec leur talent, valeur, efficacité… s’offraient des résidences somptueuses en s’empressant d’en diminuer la valeur au fisc, afin de ne déclarer qu’un honnête train de vie…
Ce genre de rapport n’est jamais anodin. Il ne tombe pas du ciel. Il prépare les esprits. Il balise le terrain idéologique, en injectant lentement le poison de la culpabilité. Puis viendra le moment des « incitations » : baisse d’impôt si vous sous-louez une pièce, prime si vous hébergez un migrant, taxe foncière progressive selon la surface « excédentaire ». Puis, un jour, la coercition. La loi. L’expropriation. C’est ainsi qu’ils fonctionnent. Toujours.
[…] Aujourd’hui, ils ricanent : « Mais non, voyons, personne ne veut vous exproprier ! » Demain, ce seront les mêmes qui rédigeront la circulaire vous obligeant à « optimiser votre surface d’habitat dans un cadre écologique et solidaire ». Slogans publicitaires à la clé, messages du gouvernement, et tout le tralala. Puis ils vous enverront un inspecteur. Puis un huissier.
« Vous ne posséderez plus rien, et vous serez heureux » !
C’est le rêve ultime de quelques salopards milliardaires qui sont discrètement aux manettes dans les coulisses ; ceux qui, gavés de fric et privilèges dont ils ne sont jamais rassasiés, travaillent sur l’extermination des plus faibles, partout dans le monde, où ces sagouins manigancent pour faire encore plus de place pour eux et leurs semblables.
Ne croyez pas une seule seconde qu’ils nous imposent les envahisseurs par bonté d’âme pour ces prétendus « malheureux » ; bien au contraire, ce sont leurs armes de guerre, dont ils se servent pour nous exterminer discrètement, du moins le croient-ils… prenant les peuples pour de fieffés abrutis (il y en a, mais pas tous !) pouvant être manipulés indéfiniment, sans jamais se rebeller… ce qui reste à prouver, certains citoyens dans le monde étant pourvus de bien plus de courage et loyauté envers leurs aïeux que ces véritables serpents à sonnettes totalement écœurants !
Cette phrase a été interprétée par certains comme une résurgence des idées marxistes et communistes. Pourtant, il est important de noter que Karl Marx, dans son ouvrage « Le Capital », ne prônait pas l’abolition de la propriété privée pour tous, mais plutôt la libération du prolétariat des forces de l’argent. Marx décrivait un système où la majorité des gens ne possèdent déjà rien, en raison de la concentration des richesses entre les mains d’une minorité.
L’expression « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » semble donc refléter une réalité capitaliste poussée à son extrême, où la spoliation des masses est ouvertement assumée. Les projets actuels, comme l’interdiction de posséder une voiture aux Pays-Bas, illustrent cette tendance. Marx, quant à lui, envisageait une société où la propriété privée serait abolie pour les forces de l’argent, permettant une redistribution plus équitable des richesses.
Cette expression ne doit donc pas être vue comme une résurgence du marxisme, mais plutôt comme une évolution du capitalisme vers une spoliation ouverte et assumée. Les idées de Marx, bien que critiquées, offrent une perspective intéressante sur les dynamiques de pouvoir et de richesse dans nos sociétés modernes.
Tous ceux qui ont déjà compris les ressorts de ces hyènes puantes savent qu’entre eux et nous, c’est un combat à mort ; forts de leurs moyens matériels leur permettant de « tout acheter », ils n’auront de cesse de nous dépouiller de nos maisons, nos terres, la moindre parcelle de possession de notre part… jusqu’à notre vie, soyez-en certains !
Alors, stop ou encore ?
Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression