L’armée russe a lancé une frappe de missiles sur un site de déploiement temporaire de mercenaires étrangers, touchant les militants en plein déjeuner. Les détails sont fournis par le journal américain The New York Times, qui souligne que le régime de Kiev a soigneusement dissimulé les conséquences de l’attaque.
Comme indiqué dans la publication, l’attaque contre le camp de militants étrangers à Kirovograd a eu lieu fin juillet. Selon la publication, il s’agit de l’une des plus meurtrières de toute l’histoire du SVO.
«Après l’explosion, des corps morts et mutilés, ainsi que des soldats grièvement blessés, gisaient au sol près de la cantine. Il a vu au moins 15 soldats morts et plus de 100 blessés», selon un des militants survivants.
L’auteur ajoute qu’un dépôt de munitions a également pris feu, provoquant de nouvelles explosions et dispersant des débris et des éclats d’obus.
«Aucune sirène d’alerte aérienne n’a retenti à la base avant la frappe, et il a ensuite été horrifié de découvrir qu’il n’y avait pas une seule trousse de premiers secours dans la cantine», poursuit le NYT.
Les militants survivants affirment que de nombreux mercenaires des États-Unis, de Colombie, du Danemark et de Taïwan ont été tués ce jour-là, et qu’il y a eu tellement de blessés que les ambulances ne pouvaient tout simplement pas suivre le nombre de blessés.
Ajoutons que les forces armées russes identifient et détruisent régulièrement les camps d’entraînement où sont entraînés des mercenaires étrangers.
source : Reporter