« Les soins de santé sexuelle et reproductive, y compris le service postnatal et celui de planification familiale sont devenus très limités pour 155.000 femmes enceintes et allaitantes » à Gaza.
C’est ce que rapportait de façon officielle, le 5 novembre 2024, le service d’information de l’ONU, se référant à l’Agence des Nations Unies en charge des questions de santé sexuelle et reproductive (UNFPA).
Ainsi, il se trouve que 155.000 femmes étaient enceintes et donc allaient donner naissance à des nouveau-nés gazaouis ou avaient des bébés qu’elles allaitaient.
Cela confirme que le « génocide » perpétré par Israël est une réalité et porte ses fruits. Si cette tendance perdure, il n’y aura bientôt plus de Gazaouis à Gaza.
À la même date du 5 novembre, le service d’information de l’ONU relevait que la situation humanitaire à Gaza était « catastrophique », avec au moins 43.000 morts et près de 1,9 million de personnes déplacées, souvent de manière répétée, dont plus de 43.000 femmes enceintes.
43.000 morts et 43.000 femmes enceintes.
En supposant que les 43.000 morts sont des hommes, on conclurait que chacun des hommes a engrossé une femme avant de mourir. Peut-être même que c’était pendant qu’il engrossait la femme qu’il est mort.
En tout cas, que ce soit pendant la guerre ou pendant un « génocide », les Gazaouis continuent calmement à faire des enfants.
Les déplacements répétés dont se plaignent les Gazaouis, les hommes comme les femmes, ne les dérangent pas. On se demande cependant comment ils font.
Il y a un mois, le 17 juillet, le bureau onusien des affaires humanitaires (OCHA), signalait que près de 10.000 nouveau-nés à Gaza n’ont pas été enregistrés depuis le 7 octobre 2023. Cette absence de documents officiels pourrait limiter l’accès de ces enfants aux services de base, tels que les soins de santé, l’éducation et l’aide humanitaire, alerte le bureau onusien.
Pas de soucis, l’OCHA. Ils seront enregistrés par le Hamas.
En 2023, le taux de natalité à Gaza était élevé avec environ 27,2 naissances pour 1 000 habitants, tandis que le taux de mortalité était inférieur à 3 pour 1 000. Le taux de fécondité était d’environ 3,34 enfants par femme. Cela a conduit à un taux de croissance démographique d’environ 1,99 % par an, soit l’un des plus élevés au monde. (Wikipédia)
On ne peut pas reprocher aux Gazaouis de faire tant d’enfants. Que voulez-vous ? Ils ne savent pas faire autre chose.
Messin’Issa