À Royère-de-Vassivière, petite commune de la Creuse près d’un grand lac artificiel très fréquenté l’été, un événement vient de se produire qui en dit long sur l’inversion accusatoire pratiquée avec décontraction par l’ultragauche et ses violents protégés de la diversité, suivant le modèle LFI qui voit l’innocence là où il y a le crime et inversement, selon la couleur de peau des bourreaux et des victimes.
Ainsi, on apprend que, dans la nuit du 15 août dernier – jour de l’Assomption –, une énième « incivilité » s’est déroulée lors d’une fête organisée par la municipalité. Or, parmi les importuns, se trouvait un Noir, vache sacrée entre toutes. Et comme ce Noir et ses camarades – dont on ignore l’origine – se comportaient plutôt très mal sans avoir été invités, les habitants de la commune se sont rebellés, contrairement à l’usage imposé par la société progressiste et surtout les juges rouges.
Hélas, Royère-de-Vassivière se situe sur le plateau de Millevaches, infesté par l’ultragauche la plus radicale. Aussi, cette altercation s’est très vite transformée en… acte raciste ! Et La Montagne – porte-voix de l’ultragauche du Massif central – d’aller dans ce sens en reprenant dans un article les propos du tract distribué à la suite de cet incident tout à l’honneur des habitants de Royère-de-Vassivière, qui sont encore maîtres chez eux.
Le tract en question affirmait, toute honte bue : « Le soir de la fête du 15 août, une attaque raciste a eu lieu à Royère-de-Vassivière. Des habitants du village se sont fait agresser par des personnes faisant partie de l’organisation de la fête. Ces derniers ont tenu des propos racistes et ont tabassé les membres du groupe. Les personnes agressées sont parties en courant, les agresseurs les ont pourchassées dans le village à pied puis dans plusieurs véhicules sans répit en appelant à une “chasse au nègre”. Les personnes qui ont vécu ces agressions se sont réfugiées où elles pouvaient. Elles portent sur elles des séquelles physiques et psychologiques. »
Sans enquêter sérieusement, La Montagne – très à la pointe de la « lutte contre l’extrême droite » et de « l’antiracisme », un peu moins du racisme anti-Blancs ! –, a ainsi racolé en titrant insidieusement : « “Chasse à l’hommeˮ et “attaque racisteˮ dans une fête de village : que s’est-il passé dans cette commune de Creuse ? » On peut ainsi supposer que La Montagne accuse tacitement les habitants de Royère-de-Vassivière de s’être défendus contre une agression. Dans le contenu même de l’article, le quotidien régional enfonce le clou en parlant de « faits gravissimes ».
Le maire de la commune, qui a par ailleurs décidé de porter plainte contre ce maquillage ignoble des faits – la Creuse n’étant pas particulièrement une terre de chasse à l’homme, elle qui a fait preuve par le passé d’un courage impressionnant face aux Allemands, ce qui lui a coûté très cher en vies humaines –, a donné une tout autre explication : « À la fin de la fête vendredi soir, alors qu’on était en train de partir, on a vu un groupe d’une dizaine de jeunes qui squattaient, qui traînaient sur une table, et qui essayaient de piquer des gobelets. Ils ont commencé à nous jeter des bouteilles, et on ne s’est pas laissé faire. »
Si la gendarmerie confirme de son côté des propos discriminatoires, ceux-ci ont très certainement été motivés par l’agression subie par les habitants et les injures qui allaient avec, toutes choses soigneusement éludées par les vautours d’ultragauche. Peut-être aussi que les habitants de Royère-de-Vassivière avaient gardé en mémoire Crépol et l’assassinat raciste de Thomas, en novembre 2023, où une bande de la diversité était venue pour massacrer du Blanc.
Derrière l’incident de Royère-de-Vassivière, en plus des calamités provoquées par une immigration massive et conquérante, il y a toute la nuisance ultragauchiste qui n’a de cesse de promouvoir cette même immigration, détruisant avec elle les traditions ancestrales d’une région qu’elle pourrit non seulement par son idéologie mais encore par des actes violents. Ce à quoi La Montagne répond que « le plateau de Millevaches revendique son histoire marquée par la Résistance, voire une âme rebelle ». Pas sûr que les résistant limousins, qui s’étaient battus pour chasser un envahisseur, auraient apprécié d’en voir arriver un autre avec des méthodes similaires : la terreur et le crime.
Plus généralement, les Blancs attachés à leur identité sont traqués comme du gibier et malheur à eux s’ils se défendent, car ils sont de facto placés dans la case infamante « raciste », dans ce grand jeu de l’oie wokiste. Sauf que, parfois, certains résistent et c’est tant mieux. Trop de citoyens baissent les bras face à ce fléau, soit par paresse soit par peur. Mais comme dit le proverbe, la peur n’évite pas le danger. Quant à la paresse, elle est, à raison, un péché capital.
Résistons donc comme les habitants de Royère-de-Vassivière et comme l’équipe de Murmures de la Cité. Car si nous abdiquons, nous sommes morts. Trop de Lola, de Philippine, de Thomas, d’Élias sont tombés sous les coups de nos ennemis armés par des traîtres ultragauchistes, semblables aux traîtres d’hier qui s’étaient jetés dans les bras de l’Occupant.
Telles l’Auvergne ou la Bretagne, le Limousin est aujourd’hui à la fois victime de la diversité la plus dangereuse – les récentes émeutes ethniques de Limoges l’ont démontré – et de l’ultragauche, non moins dangereuse. Il est grand temps pour les habitants – natifs ou nouveaux arrivants de bonne volonté – de cette région, au demeurant magnifique, de se réapproprier ce qui leur appartient de droit, ce qui nous appartient à tous : la terre de France. Car à force de concéder, de s’accommoder, on en vient à subir le pire sans broncher. Ce pire-là n’est plus admissible, si jamais il l’a été. Si le mouvement de révolte est massif, même les juges rouges ne pourront l’étouffer. Nous sommes le peuple, nous somme la France !
« La France vivante, saignante, est toute dans les profondeurs. C’est vers l’ombre qu’elle tourne son visage inconnu et vrai. Peuple qui, dans les catacombes de la révolte, forme sa lumière et trouve sa propre loi » (Joseph Kessel, L’Armée des ombres).