Alors que notre Bayrou ne devrait plus sévir encore très longtemps tout en nous accusant, nous, le peuple, de dépenses somptuaires, iI nous explique que la dette ce sont nos dépenses à nous, pas celles de nos dirigeants, qui n’ont pourtant eu de cesse de faire n’importe quoi ces dernières années.
Il est donc important de soumettre à votre sagacité et à votre agacement, cette histoire de normes sur les potelets.
Je ne parle pas des bourrelets de Bayrou, ni même du fait qu’il soit potelé, mais bien des potelets de nos villes, dont sans doute ceux de Pau… manque de pot pour François qui porte dans sa bedaine une certaine idée de la bonne chère à nos frais (c’est écrit volontairement ainsi) puisque ce qui est payé par nous, nous sommes toujours plus cher que ce qui est payé par le voisin.
Bref, on peut nous expliquer tout ce que l’on veut, l’Etat est devenu fou.
Les normes sont devenues folles.
C’est le théorème du potelet !
Un Etat qui légifère tous les 4 matin sur la hauteur du potelet est condamné à s’effondrer sous le poids de ses propres absurdités et complexités.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
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