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Zucman, l’illusion fiscale d’une France en déclin

C’est devenu un refrain bien connu chez une certaine gauche intellectuelle : faire payer les riches, encore et toujours, comme si la prospérité collective dépendait du sacrifice de quelques-uns. Gabriel Zucman, jeune économiste formé dans le sillage idéologique de Thomas Piketty, incarne à merveille cette utopie fiscaliste qui enivre les salons universitaires et séduit les technocrates déconnectés du réel. Sa dernière trouvaille ? Une taxe mondiale de 2 % sur les grandes fortunes, présentée comme la panacée contre les inégalités.

Mais cette idée, sous des airs de justice sociale, relève en réalité d’un illusionnisme économique dangereux. Car en prétendant rétablir l’équité par la contrainte fiscale, Zucman ignore les fondamentaux de la richesse : l’investissement, la prise de risque, la mobilité du capital et la liberté d’entreprendre.