
Ils ont bonne mine tous les journalistes, tous les ministres, tous les politicards qui essayaient, pour mieux masquer l’énorme faillite du Louvre et de son incapable de directrice, nommée par Macron sur des bases confuses, de nous expliquer que des charlots qui avaient fait tomber la couronne de l’impératrice, laissé leurs gilets, leurs casques de motos et un scooter, étaient issus du grand banditisme, des Arsène Lupin des temps modernes, voire des nouveaux Albert Spaggiari.
Au bout d’une semaine, ce que tout le monde pressentait se confirme. Pour voler des joyaux de l’Histoire de France, dans le pays de Macron, il suffisait d’avoir un gardien dans la place – et ce n’est pas la diversité qui manque – un monte-charge, une disqueuse et d’opérer en 7 petites minutes ! Et n’en déplaise à Moussa Darmanin, les deux premiers suspects arrêtés ne paraissent pas s’appeler Kevin et Mattéo, mais avoir le bon profil des petites racailles de banlieue, sans doute avec un commanditaire de la même origine.
Alors, le procureur Beccuau, autre vedette de cette affaire, qui avait émis l’idée de l’ingérence d’une puissance étrangère, pour mieux déstabiliser la France, évoquant ainsi la Russie, avait raison, mais la puissance étrangère, c’est tout simplement l’islam et ses petits soldats, dont plus de dix millions, à cause de tous les collabos que compte ce pays, sont sur notre sol, et constituent, pour les plus déterminés d’entre eux, une véritable cinquième colonne qui mène une guerre quotidienne à la France, par tous les moyens.
C’est certain que voler à la France une part de son histoire à laquelle ceux qui aiment encore notre pays tiennent comme à la prunelle de leurs yeux est une jouissance certaine, et que dans les banlieues, comme le soir des attentats, tout le monde rigolait bien de cette nouvelle humiliation subie par notre pays, qui n’est pas le leur, sauf pour profiter de ses avantages. Mais ce quotidien consiste aussi à ne pas travailler, pour beaucoup d’entre eux, profiter des aides sociales de la France, avec l’alibi de la colonisation passée, de multiplier, pour les plus audacieux d’entre eux, les escroqueries, et pour les plus crapuleux les agressions de Français.
En plus de la razzia, il y a le djihad quotidien, que subissent nos compatriotes, sous la forme d’insultes, de menaces, d’agressions verbales, puis physiques, de coups de couteau, de viols, d’agressions sexuelles, de trop de Lola, de Philippine, de Thomas, d’émeutes, de volonté de tuer du policier, de refus d’obtempérer, de zones interdites, de trafics de drogue, de constructions de mosquées, de provocations de tenues de guerre – voile islamique et de djellabas – de proliférations de boucheries halal qui remplacent les nôtres, de rodéos et de tout ce qui peut humilier la France et montrer qu’ils sont les maîtres dans de nombreuses zones conquises de notre pays.
Bref, avec la loi du nombre, ils sont en train d’islamiser la France, de rendre la vie impossible aux Juifs, à tous les Français et aux nés musulmans qui veulent vivre à l’Européenne et s’émanciper des soldats d’Allah.
Au lieu de tirer les leçons de quarante années de razzias et de djihad, le régime de Macron, soutenu par toute la gauche politique, syndicale et associative, impose à la France 500 000 nouveaux venus tous les ans, dont une majorité de musulmans.
La France n’a jamais été de toute son histoire dirigée par de tels traîtres, qui font tout pour la faire disparaître.