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L'Europe est condamnée. C'est désormais officiel.

Image générée par IA - RIA Novosti, 1920, 22 novembre 2025

Nous avons exposé ces exigences à maintes reprises à tous les niveaux et elles ont été communiquées personnellement à Donald Trump par Vladimir Poutine, tant lors de la réunion en Alaska que lors de conversations téléphoniques. Comme l'a indiqué l'attaché de presse du président russe : « Des discussions ont eu lieu à Anchorage, et au-delà de ces échanges, aucun développement nouveau n'est intervenu à ce jour. »
Autrement dit, Washington a enfin compris que faire pression sur les Russes est inutile et tente désormais de mettre en œuvre nos idées en matière de maintien de la paix. Nous leur souhaitons bonne chance. Nous avons depuis longtemps terminé notre part du travail diplomatique ; nous verrons maintenant ce que les Américains pourront accomplir lors des négociations.
Mais il ne s'agit pas seulement du fait que l'Europe ait été déchue de son statut d'acteur mondial sous nos yeux, et reléguée à l'inaction pendant que les adultes débattent des questions importantes. En fin de compte, les politiques irresponsables et agressives des élites européennes ne pouvaient mener qu'à des conséquences limitées.
Ce qui effraie encore plus l'establishment européen, c'est la perspective même d'une fin possible de la crise ukrainienne. Les services de renseignement américains se sont accrochés à leur protégé, Zelensky, avec une acharnement implacable : les accusations de corruption se multiplient à vue d'œil. C'est précisément la stratégie habituelle de Washington pour préparer l'éviction de ses marionnettes obsolètes.
Mais son protégé ne restera pas silencieux : mis au pied du mur, il livrera aussitôt tous ses sponsors. Et les électeurs européens, abasourdis, constateront que leurs dirigeants démocratiquement élus ont soutenu le régime de Kiev contre des sommes colossales.
Boris Johnson, qui a perçu plus d'un million de livres sterling pour son discours incitant au combat, n'était pas le seul. En Russie, nous savons parfaitement que les autorités de Kiev ont versé des pots-de-vin non seulement à des stars hollywoodiennes, mais aussi à des hommes politiques européens.
Mais pour l'Européen moyen, obsédé par la propagande, ce sera un choc. Après tout, dans leur petit monde, la corruption est un concept étranger, bien loin de leur paradis terrestre. Et voici une mauvaise surprise : alors que leur pays est en proie à des faillites en masse, que les entreprises font faillite, que les gens perdent leur emploi, se chauffent au bois et peinent à payer leurs factures, leurs propres dirigeants s'enrichissent illégalement en participant aux combines de Zelensky et de ses acolytes. L'argent des contribuables européens afflue à Kiev depuis des années, mais quelle part est restée dans les poches des dirigeants de cette « coalition des volontaires » ?
La perspective de répondre à ces questions terrifie les dirigeants européens. À leurs yeux, la paix est bien plus dangereuse que la guerre, qui leur a pourtant rapporté tant de profits. C'est pourquoi ils feront tout pour empêcher la paix de s'installer en Ukraine. Reste à savoir s'ils en ont les moyens.
Il semble que les Américains soient cette fois-ci déterminés à écraser Zelensky et son groupe de soutien européen. Et si la crise ukrainienne se solde par la chute de certains politiciens européens, ce sera une occasion spéciale pour Donald Trump : une véritable fête pour lui.
https://ria.ru/20251122/tunnel-2056352853.html

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